Souvenirs de Baie des Pins 9
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Un homme à sa fenêtre
Quelques années passèrent. Comme Michel autrefois, François entra dans l'armée. Ma grand-mère morte et ma sur mariée, ma mère ne venait presque plus à Baie des Pins sinon pour quelques week-ends durant l'été. La plupart des gens qu'elle avait connu avaient aussi cessé d'y venir ou étaient disparus. Madame Mélisson, la mère d'André était morte. Les parents de François s'étaient installés à la ville de même que la mère de Jean-Marie qui avait vendu sa maison. Les parents de Michel aussi avaient vendu leur chalet qui avait d'ailleurs été rasé et remplacé par une résidence toute saison. Notre chalet était donc vide le plus souvent et affichait une solitude de vieillard que la Mort semblait avoir oublié. Moi, profitant alors de la liberté que m'offrait sa désertion, j'y allais parfois pour me reposer, pour profiter du bon air et d'une sorte de bienfaisante solitude accompagnée souvent d'une douce nostalgie.
Baie des Pins avait bien changé! Il ne restait plus guère que quelques chalets. La plupart avaient donc été vendus pour être rasés et remplacés par des bungalows tout neufs, ou bien ils avaient été transformés comme résidence principale pour toute l'année. Montréal s'agrandissait à vue d'il. Ce qui, dix ans plus tôt, était encore la campagne était presque devenu une banlieue. Les lieux de villégiature assez proches de la ville se transformaient en immenses dortoirs couverts de pavillons. Notre modeste chalet faisait figure d'orphelin.
Les rues étaient maintenant pavées. On y avait installé partout l'eau courante et les égouts. Le petit chemin de fer d'intérêt local avait cessé ses opérations. Les rails avaient été démantelés. On les avait remplacés par une piste cyclable. Le petit bois de sapinage qui, du fond de ma rue, conduisait au lac et recouvrait le petit sentier de terre et d'épines de pins que j'avais parcouru jadis sous la pluie pour aller rejoindre Jean-Marie, avait été entièrement rasé. La rue se poursuivait maintenant jusqu'au lac et, de chaque côté, des maisons avaient été construites. Le petit bois derrière notre chalet que je regardais durant mes nuits sans sommeil avait été divisé et vendu en lots. Des maisons s'y étaient construites partout. Il n'en restait plus rien sinon quelques arbustes qui nous protégeaient des voisins et nous laissaient encore un peu d'intimité.
Seul le chalet juste voisin du nôtre était demeuré inchangé. Une nouvelle famille s'y était installée pour y passer ses étés. Ils faisaient figure d'Ancien Régime au milieu de ce paysage tellement modifié. C'étaient les Goyette. Les parents avaient eu quatre filles entre 20 et 30 ans. Le dimanche, tout le monde était là. Autrement, seulement la plus jeune des filles y habitait avec ses parents et son fiancé qui était presque toujours là. Mais quel fiancé! Une merveille de la nature!
Presque tous les jours, la jeune Sylvie et lui s'allongeaient sur des transats dans la cour arrière et se faisaient bronzer. Ils y passaient presque toute la journée. Le copain de Sylvie portait toujours un maillot très ajusté orange brûlé qui lui allait à merveille. Comme il avait une peau glabre et naturellement foncée, il bronzait facilement et uniformément. Seule une mince ligne blanche apparaissait tantôt près de la cuisse, tantôt près de la taille quand les bordures de son maillot se relevaient ou s'abaissaient légèrement par un mouvement inévitable du corps. Cette ligne laiteuse faisait l'effet d'une lame de couteau et on aurait voulu déchirer le maillot pour aller contempler le reste de cette pure blancheur. Du matin au soir, il portait toujours ce même maillot. Comme Jean-Marie autrefois avec son maillot bleu marine, on aurait dit qu'il le portait pour dormir, ou plutôt, comme aurait dit ma mère, qui, dans une occasion semblable utilisait toujours une expression traduite d'un idiome anglais, « qu'il dormait avec » (to sleep with).
Je mis peu de temps à me rendre compte qu'il ne travaillait pas et qu'il semblait se faire entretenir par cette famille. C'était d'autant plus évident que la jeune fille, Sylvie, était tout le contraire de cette beauté masculine. Sans être carrément laide, elle affichait un air de parfaite insignifiance. Grande, ultra mince, les joues creuses, avec des cheveux longs qui semblaient toujours mal lavés et très mal peignés, peu de poitrine, des dents pas très égales qui lui donnaient un sourire niais et bête, on lui eut prophétisé un avenir amoureux plutôt incertain mais surtout pas la merveilleuse aventure qu'elle semblait vivre avec le mâle apollinien qui avait l'air de passer ses nuits dans son lit.
Parfois, au cours de l'après-midi, après avoir échangé quelques baisers et qu'elle se fut assise sur lui quelques minutes comme pour vérifier, avec son derrière, la dureté du membre de son mâle, ils rentraient tous les deux dans la maison. Lui, il était tout à fait bandé dans son maillot qui arrivait mal à couvrir sa puissante érection. Elle, la tête penchée vers l'avant, elle le traînait par la main vers la maison comme si elle se fut transformée en un minuscule et affreux tracteur remorquant un magnifique char allégorique dans un défilé qui aurait été réduit à une seule pièce de représentation.
Ces jours là, comme j'avais remarqué que la fenêtre de leur chambre donnait directement sur celle de notre salle à dîner, mais un peu plus bas, et séparée l'une de l'autre par seulement l'espace d'une voiture ( c'était effectivement un passage mitoyen pour voiture), je m'installais sur une chaise près de cette fenêtre et je les entendais baiser. Inutile de vous dire que j'avais la tête pleine de fantasmes et que je me masturbais en faisant durer le plaisir jusqu'à ce que j'entende les petits cris si typiques de la jouissance.
J'ouvrais alors mes valves et je laissais jaillir ma semence. Parfois aussi, quand ma tension sexuelle était trop grande, je me précipitais dans la salle de toilette d'où une petite fenêtre me permettait de les voir tous les deux sur leur transat se faisant bronzer. Quand elle allait s'asseoir sur lui pour se frotter sur son maillot, je baissais mon slip et je me masturbais au-dessus du lavabo en poussant un doigt contre mon cul m'imaginant que j'étais à la place de Sylvie et que mon doigt était la queue de son mâle qui poussait contre mon cul. Le lavabo se couvrait alors de liquide blanc bien avant qu'ils n'aient eu le temps d'entrer dans la maison.
J'avais remarqué aussi autre chose. Tous les samedis matin, le père, la mère et la jeune Sylvie allaient faire du shopping et restaient absents plusieurs heures. Le beau mâle dont je n'ai su le nom que plus tard et qui s'appelait Roger, allait alors s'allonger seul dans le transat mais il n'y restait pas très longtemps. Il entrait dans la maison et n'en ressortait qu'une bonne heure plus tard. Je pensé alors qu'il profitait peut-être de l'absence de sa « grébiche » pour se donner du plaisir. Mon imagination de masturbateur étant fertile, toutes les situations étaient propices pour que je prête aux autres les désirs et les perversions qui étaient miennes. La fenêtre de la chambre devint donc très vite une obsession pour moi; je collais mon nez contre la vitre, j'essayais de voir dans la chambre d'en face en me plaçant tantôt sur la gauche, tantôt sur la droite, et l'excitation me conduisait tout naturellement à me caresser le sexe. Les rideaux restaient fermés, mais je voyais que quelqu'un bougeait dans la chambre. Je ne savais pas alors que j'étais vu et que j'avais été repéré.
Mon manège (tenter d'épier à la fenêtre) ne dura que deux samedis. Le troisième, quelle ne fut pas ma surprise de constater que les rideaux de la chambre étaient complètement ouverts et que je voyais parfaitement bien dans toute la pièce. Aussi, parce que ma fenêtre était un peu plus haute, mon regard distinguait-il tout le lit. Quand je me suis approché de ma fenêtre pour commencer mon observation, il n'y avait personne dans la chambre d'en face. J'étais bien déçu. Mais je n'ai pas quitté mon poste à la fenêtre, me tirant même une chaise pour attendre et ne rien manquer si jamais quelque chose devait se passer.
Mon attente fut récompensée. Après quelques minutes, Roger entra dans la chambre sans jeter le moindre coup d'il en direction de la fenêtre. Il sembla tourner en rond quelque temps, puis se dirigea vers une commode et tira d'un fond de tiroir une revue dont il vérifia le contenu sur la jaquette principale. « Serait-ce une revue porno? », me disais-je, mon cur battant déjà la chamade. Il s'avança vers le lit, les yeux fixés sur la revue, s'y installa à genoux et de profil, comme pour satisfaire à ma vue. Il se trouvait ainsi juste en face de ma fenêtre et il commença lentement à caresser l'avant de son cher maillot orange. Mon cur augmenta rapidement ses pulsations et ma queue rebondit dans mon short. Sans doute aussi que ma bouche dut s'ouvrir et rester un peu pendante.
Il regardait intensément la revue et se caressait le sexe à-travers son maillot. Je n'avais plus aucun doute maintenant. Il allait se branler et j'allais voir ça! Pourvu qu'il ne me remarque pas tout de suite et n'aille pas tirer les rideaux! J'étais impavide et totalement immobile sauf pour ma main qui s'agitait sous l'allège de la fenêtre.
Mais la fenêtre ne semblait pas le préoccuper. Quand sa queue fut super gonflée dans son maillot, il la fit sortir sur le côté, de MON côté, et poursuivit ses caresses. Il déposa la revue sur le lit devant lui, enleva son maillot et, s'asseyant sur ses chevilles (toujours de profil pour mon regard), il se cambra un peu, fixa ses yeux sur la revue et reprit ses mouvements. Il se masturbait lentement en plaçant le pouce sur la partie supérieure de son pénis et la pointe de l'index et du majeur au-dessous du frein. Cette façon de faire, je l'avais remarqué depuis longtemps, augmente l'afflux de sang dans le pénis et le fait grossir au maximum. Il releva un bras et, tournant la tête, vint sentir ses aisselles. Il fit de même avec l'autre bras. Il passa ensuite une main sous son sac de couilles, atteignit sans doute son cul, le caressa et vint ensuite sentir ses doigts. Tout ça eut l'heur de lui plaire. Il parcourait la revue et tournait les pages, reprenant, tantôt partiellement, tantôt complètement, les exercices précédents.
Ne faisant toujours aucun cas de la fenêtre ni de ma présence possible, il se tourna en plaçant son cul directement devant la fenêtre. La revue fut déplacée devant lui et il se pencha comme pour la regarder de plus près. Dans cette position, ses fesses toutes blanches et sa belle craque étaient directement devant ma face. J'étais malade d'aller y mettre mon nez et ma langue. Il se pencha davantage comme pour m'offrir la meilleure vue possible, écarta ses fesses avec ses mains et se caressa le cul. La lumière qui entrait dans sa chambre me permettait de voir très bien que son trou, comme le reste de son corps, était glabre et offrait le spectacle d'une sorte de beigne allongé, d'un brun qui me semblait soutenu, et entouré d'un halo plus pâle qui semblait jaunâtre et marron. Avais-je une vision, fruit d'une trop forte imagination, ou si ces couleurs étaient bien réelles? Pour l'heur, elles me paraissaient bien réelles.
Il enfonçait son majeur dans son cul à plusieurs reprises après avoir, à chaque fois, bien humecté son doigt. Il faisait des mouvements de va-et-vient mais parfois il le retenait une bonne minute au fond et semblait faire des efforts pour se pénétrer plus loin encore.
Je n'en revenais pas. J'avais cessé de me masturber car j'aurais joui tout de suite. J'en bavais. Mais je n'arrivais à croire qu'il ne me voyait pas.
Il se retourna ensuite complètement dans ma direction pointant son pénis vers la fenêtre, toujours assis sur ses chevilles sans tenir compte aucunement de ma présence, me laissant même supposer que, contre toute vraisemblance, il ne me voyait pas et augmenta la vitesse de sa masturbation. Il juta de plusieurs jets sur la moustiquaire de la fenêtre. En effet, nos deux fenêtres à guillotine (à l'anglaise) étaient ouvertes. Une légère moustiquaire en couvrait l'ouverture mais elle laissait voir parfaitement l'intérieur tout autant qu'elle ne gênait pas la vue vers l'extérieur.
Quant il s'était retourné dans ma direction pour se branler, j'avais repris ma propre branlette et ses premiers jets vers la fenêtre déclenchèrent les miens.
Je crois même que j'ai lâché un « Ohhhhhh! Ouiiiiiiiiii! » qu'il avait sûrement dû entendre. Il ramassa avec ses doigts ce qu'il put du sperme répandu sur la moustiquaire et lécha le tout comme s'il se fut agi d'une crème glacée qu'on dévore au beau milieu d'une journée de canicule.
Il regarda ensuite, pour la première fois, directement dans la fenêtre. Il fixa carrément mes yeux et, avec un sourire à faire tomber une Vestale, il leva haut le pouce comme le faisaient jadis les empereurs romains voulant gracier un gladiateur qui s'était vaillamment battu. Il se pencha ensuite pour déposer un baiser sur le bord de la fenêtre, dans ma direction, et puis il tira les rideaux. Il avait tout vu et tout compris, peut-être même depuis longtemps. Je voulais dormir et ne me réveiller que le samedi suivant.
Une heure après le « spectacle », je prenais la route vers Montréal. Je ne voulais pas être vu de la famille Goyette à son retour. J'éprouvais une étrange sensation. Je ne voyais pas comment je pouvais maintenant croiser l'un d'eux sans être mal à l'aise, et encore moins Roger.
Mais le vendredi soir suivant, assez tôt en soirée pour qu'il s'aperçût que j'étais revenu au chalet, je m'installais pour ce que j'espérais devoir être : le show du samedi.
Vers 13 heures, la famille Goyette étant partie depuis une bonne demi-heure, j'étais installé patiemment sur ma chaise devant la fenêtre de la salle à dîner, et je regardais attentivement la fenêtre d'en face, celle qui donnait dans la «chambre-théâtre».
Je le vis bientôt bouger devant la porte de la chambre, hésiter, repartir et finalement revenir et se diriger vers la commode. Comme la semaine précédente, il y prit une revue. Cette fois-ci cependant, il dirigea son regard directement vers la fenêtre pour s'assurer que j'étais bien à mon poste d'observation. Il s'approcha directement de la fenêtre, appuya ses poings sur l'allège et refit, dans ma direction, le fameux signe des empereurs, le pouce redressé. C'était une façon de dire : « the show must go on » (le spectacle peut commencer). La lumière du jour entrait doucement dans sa chambre et une odeur de gazon fraîchement coupé envahissait mes narines. Il avait plu durant la nuit et Roger avait fait le gazon au petit matin. Cette odeur de gazon fraîchement coupé restera toujours associée à une «branle à deux» pour le reste de mes jours.
Il resta debout devant la fenêtre. Il n'avait plus aucun doute alors de l'effet que produirait sa performance puisqu'il savait maintenant qu'elle était hautement attendue et désirée. Avec les deux mains, me regardant droit dans les yeux, il commença à caresser son sexe couvert par le maillot orange. Il plaçait ses deux mains à la verticale moulant bien sa queue dans le tissu du maillot et remontait celles-ci en redressant les avant-bras.
Il planta ses pouces dans la bordure du maillot et lentement repoussa cette bordure vers le bas en dégageant lentement sa queue; le gland d'abord qu'il contemplait, puis la hampe, puis le sac avec les couilles toutes humides et gonflées et finalement laissa choir son maillot sur le parquet. Il le ramassa et se mit à le sentir après l'avoir retourné pour bien circonscrire les zones les plus susceptibles de retenir le maximum de toutes ses fragrances naturelles. Il me fit signe que je devais moi aussi donner un spectacle car il entendait bien voir lui aussi.
Gêné, mais sentant qu'il était de mon devoir de lui obéir, j'ai laissé tomber mon short et je lui ai montré ma queue toute raide et prête pour le «combat». J'ai aussi ramassé mon short, je l'ai retourné et j'en ai senti l'intérieur. Il a relevé le pouce en signe de contentement et d'approbation. Il s'est placé de côté et s'est mis à se branler en me faisant voir son profil.
Tantôt il regardait ses gestes et se concentrait sur son corps. Tantôt il me regardait droit dans les yeux et regardait ensuite mes gestes pour prendre lui aussi son pied. Je l'imitais. Tantôt de profil, tantôt droit devant lui.
Il s'est assis ensuite sur le bord du lit, face à moi, et il a relevé complètement les jambes pour me montrer son cul. Il se caressa les cuisses et les fesses durant un bon moment, puis relevant davantage les jambes, après avoir mouillé son doigt, il l'enfonça jusqu'au fond dans son trou en relevant la tête de côté pour voir ma réaction. Il parut satisfait de ce qu'il vit car il ajouta un deuxième doigt au premier et s'amusa longuement à se dilater le muscle du trou de cul en y prenant un plaisir certain aux bruits de satisfaction qui parvenaient jusque chez moi. Après une assez longue période de jeu, il se releva, se mit debout devant la fenêtre et me fit signe de me retourner en pointant son index vers le bas et en faisant des ronds. J'ai compris le message; mais celui-ci aurait tout aussi bien pu être dit car la distance entre nos fenêtres permettait facilement la conversation. Mais c'était plus sensuel de ne pas se parler. Comme je n'avais pas de lit derrière moi, je me suis simplement retourné, penché vers l'avant et j'ai écarté mes fesses avec mes mains pour lui montrer ce qu'il semblait souhaiter voir. Je caressais aussi mon cul avec mes doigts et les enfonçait comme il l'avait fait lui-même quelques instants plus tôt. Moi aussi j'ai tourné la tête pour voir sa réaction. Il était très excité et se masturbait avec une bonne cadence, la paume d'une main appuyée contre le cadre de la fenêtre. Il avait la bouche ouverte et donnait de petits coups de langue. On eut dit qu'il était en train de me lécher.
Il monta finalement sur le lit et reprit comme la semaine précédente une position à genoux, le corps cambré vers l'arrière et augmenta la vitesse de sa branlette. J'ai compris qu'il était proche de jouir. J'ai avancé le plus près possible de la fenêtre et j'ai tenté de rejoindre sa vitesse. On se regardait avec une attention incroyable. On eut dit une vigile dans le nid-de-pie d'un navire croyant apercevoir au loin la terre ferme. Un cri de plaisir est sorti de sa bouche ce qui provoqua inévitablement le mien et du sperme a jailli en même temps dans les chambres «ardentes» des deux côtés du passage mitoyen.
Voyant que quelques coulisses de sperme bloquaient plusieurs petits trous des moustiquaires, on éclata de rire en même temps. On savait qu'il fallait se hâter de nettoyer tout ça avant le retour de la famille Goyette.
Il me fit encore une fois le signe des empereurs romains, le pouce relevé, mais avec un sourire plus assuré que la semaine précédente. Et il osa prononcer une parole : « À la semaine prochaine » me dit-il accompagnant ses paroles d'un geste d'au revoir.
À suivre...Derniers regards, derniers soupirs!
Alexandre