Les mystères du Nil 09
Le "liftier" du Caire
Deux jours après ma soirée chez Hamed, je suis allé reconduire Brian et Alan à la gare des chemins de fer. Ils retournaient en Israël pour terminer leur engagement qui devait prendre fin dans quelques semaines, après quoi, ils rentreraient en Suède. Je m'étais très attaché à ces deux charmants et merveilleux jeunes hommes. Brian surtout avait acquis mon affection inconditionnelle.
Trois autres jours passèrent et ce fut à mon tour d'aller faire mes adieux à Hamed et à ses compagnons. Notre dernière soirée fut toute aussi palpitante que la première. Et le souvenir que je garde de ces deux rencontres restera à jamais indélébile.
Le lendemain soir, je prenais le train de nuit pour le Caire.
J'arrivai à l'aube à la gare Moubarak. Après quelques hésitations, j'ai décidé de retourner à l'hôtel Windsor où j'étais descendu à ma première venue au Caire. J'ai tout de suite été reconnu par le préposé de la réception et le joli liftier auquel j'avais fait de l'?il lors de mon premier séjour, il y avait maintenant près de sept semaines. C'est tout sourire que le jeune garçon m'accueillit et transporta mes bagages dans l'ascenseur. Durant l'ascension, il me dit, sur un ton qui ne laissait pas de place à l'interprétation, qu'il était très content que je sois de retour au Caire, que je lui avais manqué beaucoup, qu'il avait très souvent pensé à moi, qu'il espérait qu'on aurait cette fois-ci le temps de devenir des amis et il ajouta même, à ma grande surprise, qu'il avait quelques soirs de libre et qu'il trouverait bien le moyen de me visiter dans ma chambre. C'était une offre que je ne pouvais pas refuser. J'ai menti un peu en lui disant que j'avais aussi beaucoup pensé à lui. Il rougit, de honte peut-être, mais de bonheur et de fierté sans aucun doute.
Le lendemain soir, mon jeune liftier était de service à la salle à manger. Un autre garçon le remplaçait comme liftier, mignon lui aussi mais plus farouche, l'air obscur et le teint foncé tout à fait assorti. Quand il m'apporta le dessert, un riz au lait parfumée à la rose, il me glissa à l'oreille qu'il viendrait me voir, dans ma chambre, cette nuit vers une heure. Plutôt incrédule, mais ne voulant pas lui déplaire, je lui dis que je l'attendrais. J'ai passé la soirée au café d'en face dont je retrouvais l'atmosphère avec grand plaisir et j'ai fumé deux bons narguilés en compagnie de quelques joueurs d'échecs qui tuaient ainsi le temps en attendant que le temps les tue. Leur vie semblait triste et vide à crever. Ils auraient pu s'appeler Misère et Oublié.
Vers minuit, je suis monté à ma chambre n'espérant que dormir. J'ai lu un peu et je sombrais dans les vapeurs d'un premier sommeil quand j'entendis frapper tout doucement sur ma porte. C'était lui! Il avait bravé l'interdit de visiter les chambres des pensionnaires de l'hôtel. Je n'ai pas osé lui demander comment il avait fait car il avait une telle difficulté en Anglais que son explication nous aurait occupés toute la nuit. Je préférais garder ses énergies verbales pour des communications plus essentielles et plus excitantes. Comme je lui avouai mon admiration devant sa prouesse de monter jusqu'à ma chambre au milieu de la nuit, il me dit d'un ton qui ne laissait pas de place au doute : « I am a strong man! (je suis un homme fort) ». J'allais lui demander s'il y avait un rapport entre sa phrase et le fait qu'il soit là. Je ne comprenais pas vraiment en quoi il fallait de la force pour monter un escalier quand on a environ 17 ou 18 ans. Il fit alors un geste qui m'enleva tout doute sur la signification de ses paroles. Il plaça sa main droite sur sa braguette et la déposa de manière qu'elle puisse prendre la forme de son pénis bandé dans son jeans. Il répéta alors la même phrase : « I am a strong man! ». Tout s'illumina. Il voulait me montrer qu'il avait pris le risque de perdre son emploi parce qu'il était poussé par la force de son sexe. Je lui dis alors que je voulais voir « How strong he was (combien fort il était) » Il détacha les boutons de sa braguette et laissa tomber son jeans. Je vis un tube très impressionnant gonfler son slip d'une blancheur immaculée. Il s'arrêta là cependant. Il me dit qu'il trouverait humiliant, il a dit « choking » comme les Britanniques, de se retrouver nu devant un homme habillé.
J'avais enfilé un boxer et un t-shirt pour la nuit. J'ai enlevé les deux pièces immédiatement et je me suis retrouvé tout nu devant lui. Il montra, par un sourire malin et vainqueur, son appréciation de ce qu'il voyait et la fierté de sa victoire.
Il me fit assoir sur le lit et s'en approcha. Il plaça les pouces dans son slip et le descendit jusqu'à terre. C'était un garçon plutôt petit, même assez petit quoiqu'il fût musclé, mais sa queue n'était pas proportionnelle à son corps. Elle était normalement longue mais visiblement très large et il était bandé à faire éclater la peau.
Il voulait que je le prenne dans la bouche. C'était un régal de goûter à la queue de ce joli garçon, très mâle, très sexé, trapu, musclé, glabre et extrêmement sensuel. Il sentait la fleur d'oranger, sans doute une eau de Cologne locale, parfum qui émanait d'une propreté impeccable. Même les ongles de ses orteils étaient limés et parfaitement entretenus. Il était un plat de choix, un vrai « petit poulet à l'orange »!
Il a voulu ensuite m'enculer. Mais je n'ai pas voulu, du moins une première fois. Je souhaitais aussi qu'il comprenne que ses attitudes de macho ne m'impressionnaient pas. Il jouait au mâle dominant qui se sert. Il ne m'accordait aucune attention particulière. Il s'attendait que je l'adore sans ne rien offrir en échange. Je lui ai fait toutes sortes de douceurs. Ma langue a honoré sa queue, sa poche et son cul. Il gémissait mais ne manifestait jamais que son tour était venu de me faire quelques caresses.
Je l'ai fait jouir. Mais quand il a dit qu'il reviendrait le lendemain soir, je lui ai dit que je n'étais pas disponible et qu'avant une autre rencontre du genre, il faudrait qu'on cause. Il avait l'air confus. Comme je ne voulais pas lui faire de la peine, j'ai confirmé que j'avais eu du plaisir avec lui, mais qu'il faudrait, lors d'une prochaine rencontre, qu'il s'occupe un peu de moi. Il s'excusa et promit de faire mieux une prochaine fois. Je l'ai embrassé et il est parti.
Deux jours plus tard, toujours vers une heure du matin, j'entendis des petits coups sur la porte de ma chambre. Je me levai rapidement enfilant un boxer, car j'étais nu, et je savais que c'était lui. J'ai figé en ouvrant la porte. Il était là, souriant, mais il était accompagné de son frère, le beau mâle macho de la réception. Durant quelques secondes, j'ai cru qu'il avait tout raconté à son frère qui venait pour me casser la figure. Puis, devant leur sourire qui ne semblait pas surfait, j'ai cessé de vouloir comprendre quoi que ce soit et je les ai laissé entrer.
À l'intérieur, c'est donc son frère, qui parlait mieux Anglais que le plus jeune, qui tenta de m'expliquer sa présence. Il commença très doucement et très timidement même son explication en me racontant qu'ils vivaient tous les deux avec leurs parents dans un logement assez pauvre du quartier d'El-Ezbekiya où tous dormaient dans la même pièce. Je dors collé sur mon frère me dit-il. « Son odeur et sa peau me sont familières » ajouta-t-il. « Parfois je me réveille au milieu de la nuit et je me sens tout collé. C'est parfois le sperme de mon frère endormi qui a jailli d'un rêve érotique, parfois c'est mon sperme qui colle à mon ventre et dégouline sur la cuisse de mon frère. C'est comme si on était mari et femme dormant en toute intimité. Je suis habitué à sa présence. On n'a pas beaucoup de secrets l'un pour l'autre. Quand il m'a raconté qu'il avait eu du sexe avec vous et que cela avait été bon, j'ai voulu moi aussi pouvoir me soulager. J'ai 23 ans et je n'ai jamais couché avec une fille. Avec un garçon, cela m'est arrivé une seule fois il y a déjà cinq ans. Je ne sais pas si vous voulez de moi ni si vous aimez seulement mon frère. J'ai pris la chance de venir. Si vous ne voulez pas de moi, je vais partir. » Et il fit le geste de se lever. Je lui fis signe de se rassoir. Son discours m'avait touché. Je l'avais mal jugé. Il avait l'air macho comme plusieurs jeunes Égyptiens, mais il était sans doute un bon et tendre garçon.
Pour toute réponse, je me suis approché de lui qui était assis sur le bord du lit, et j'ai caressé son sexe dans son pantalon. Je crois qu'il a rougi. Il faisait trop sombre pour voir clairement, mais il a largement souri, ça je m'en suis aperçu. Il a bandé en une seconde. J'ai baissé son jeans et j'ai enfoui ma tête entre ses jambes dans l'ouverture du jeans.
Il sentait bon la lavande et son slip était d'une propreté absolue. J'ai remarqué alors que les deux frères s'étaient faits beaux pour venir me voir. Ils n'avaient pas voulu que je les refuse pour une simple question de propreté. Ils étaient impeccables et délicatement parfumés.
J'ai enlevé mon boxer et j'ai fait signe aux deux de se dévêtir complètement. J'imaginais que l'intimité à laquelle ils étaient habitués entre eux ne devait pas susciter de malaise à se retrouver tout nu l'un devant l'autre. Mon intuition s'avéra juste. Ils ne firent aucune objection et se dévêtirent complètement. Je n'oubliais pas non plus que je ne voulais plus me retrouver pute de service comme la dernière fois. Ils allaient devoir être actifs aussi.
Je les ai invités ensuite à s'étendre sur le lit l'un à côté de l'autre. Je me suis placé d'abord entre les deux et je les ai sucés alternativement en leur accordant une attention comparable. Le grand frère me plaisait encore plus que le plus jeune. Il était plus grand de taille et plus parfait dans son ensemble. Même sa queue était mieux équilibrée que celle du plus jeune. Elle était longue et plutôt étroite, parfaitement droite et tendue. Celle du plus jeune était plus courte et plutôt large, comme je l'ai déjà écrit et elle était légèrement recourbée. Tout le corps du plus vieux était parfait : un peu de poils sur la poitrine, mais à peine, de beaux tétins roses et bruns, une barbe forte qui, même fraîchement rasée, faisait des ombres sur la figure (c'était vachement sexé), des yeux noirs immenses avec de longs cils, un front haut et de jolis cheveux noirs tissés serré. Il avait surtout des fesses extraordinaires presqu'aussi rondes, solides, dures et bondissantes que celles de mon Espagnol rencontré dans l'avion et qui a fait l'objet de mon premier épisode. Je n'avais qu'une seule hâte : lui tripoter les fesses et lui manger le cul le plus ardemment possible.
Ce fut la deuxième étape de mon service. Je les fis se retourner tous les deux et je me suis amusé longtemps à les lécher. C'était d'autant plus fantastique qu'ils sentaient bon de là aussi. Il y avait un petit goût acide qui perçait sous le parfum de lavande (le cul du plus vieux) et de la fleur d'oranger (le cul du plus jeune).
Quand ils furent au paradis par mes caresses, je ne leur ai pas laissé le temps de se remettre. De nouveau couchés sur le dos, je les ai monté chacun et j'ai mis ma queue dans la bouche du plus jeune d'abord et du plus vieux ensuite. Aucun ne fit le moindre geste de recul. Et ils suçaient bien tous les deux.
Je me suis ensuite levé pour aller chercher des condoms et du gel. Leurs yeux étaient ravis. Ils allaient pourvoir m'enculer. Mais ils ne savaient pas que j'avais une petite surprise pour eux avant. Je me suis approché du plus vieux et je me suis assis sur sa figure lui demandant de me préparer à le recevoir. Il ne résista pas non plus et me lécha en professionnel, enfonçant sa langue le plus profondément possible. Le plus jeune se branlait devant le spectacle. Il semblait surpris de voir son frère lui donner une leçon d'hospitalité et de savoir-vivre. (Hi! hi!)
Bien lubrifié par le plus vieux, j'ai offert mon trou au plus jeune pour éviter la compétition fraternelle. Plus réservé, plus inquiet des effets pervers de cette pratique sur son éventuelle orientation sexuelle, le plus jeune s'abandonnait moins que le plus vieux. Mais sa langue de satin avait tout de même un merveilleux effet sur ma disponibilité à leur rendre le « petit » service qu'ils attendaient de moi.
Le cul dégoulinant de leur salive fraternelle, voulant respecter la primogéniture, j'ai offert mon trou à la queue ultra bandée du plus vieux. Comme elle était longue mais pas trop large, cela ne fut pas difficile de m'assoir dessus jusqu'au bout. Il râlait de bonheur le grand frère. Il criait: « It is soooo goood! I don't believe I am fucking a hole. (c'est siiiii boooon! Je ne peux pas croire que je fourre un trou)" Je me l'enfilais à répétition comme une aiguille de machine à coudre se plante dans le tissu. Délirant, il criait encore : « I love you (Je t'aime) ». Il ne devait plus se rendre compte de ce qu'il disait tant il était emporté par son plaisir. Sinon, il n'aurait jamais dit à un homme, surtout pendant qu'il l'enculait, qu'il l'aimait.
Le plus jeune se masturbait si fort de voir son frère prendre son pied qu'il était au bord de cracher son jus. Je lui ai dit de ralentir ou de cesser de se masturber. Il obéit instantanément à ma recommandation comme à un ordre.
Le plus vieux finit par jouir, assez rapidement d'ailleurs. Le condom était plein quand il le retira.
Je me déplaçai pour aller m'assoir sur la queue du plus jeune. Ce fut plus difficile car, si vous vous rappelez bien, je l'avais décrite comme plutôt large. Mais, le passage du grand frère avait bien préparé le terrain. Elle finit par passer. Le jeune était aux anges. Je crois même qu'il n'était pas peu fier de montrer à son plus vieux comme il était capable lui aussi. Après tout, il se disait « very strong », n'est-ce pas? Mais, comme il était très préparé par sa masturbation, il ne mit pas beaucoup de temps à jouir lui non plus.
Je ne sais pas si le message lancé au plus jeune, deux jours plus tôt, lui rappelant la nécessité de s'occuper de moi quand on baisait ensemble avait été répété au plus vieux qui convenait que cela était une juste chose, mais les deux frères, m'étendirent délicatement sur le dos et se mirent à me faire l'amour en me léchant et en me baisant partout. Le plus jeune me prit dans sa bouche pendant que le plus vieux m'embrassait à pleine bouche. Je ne tins pas longtemps et ma jouissance éclata. Le petit en a eu toute une tasse à bouffer. Il en cracha une bonne gueulée mais il dut néanmoins en avaler pour sa peine.
On resta enlacés un bon quart d'heure pour reprendre nos esprits et se reposer de nos ébats. Puis, gentiment, après plusieurs remerciements, ils partirent tous les deux non sans me supplier de les recevoir encore le lendemain soir. Le lendemain, je ne pouvais pas car j'avais rendez-vous avec Philip, mon Anglais égyptologue avec qui j'avais fait la balade en felouque sur le Nil. Mais, je convins avec eux que je serais disponible le surlendemain. Ils me quittèrent après m'avoir embrassé longuement, séparément d'abord, puis, rapprochant les deux têtes des frères de la mienne, j'ai collé ma langue sur les leurs. On a fait du patin à trois langues. C'était très bon d'autant meilleur que les deux frères en étaient un peu gênés.
À suivre??.Prochain épisode : Khan El-Khalili
ALEXANDRE