Bons Baisers Dalabama

By Adelard Dore

Published on Feb 12, 2014

Gay

Bons baisers d'Alabama 13

Note : Ne pas oublier de penser à Nifty! Une petite contribution aiderait à maintenir ce service qui nous est si agréable.

Un service vraiment spécial

Le repas était excellent : soupe cajun, jambalaya, salade et tarte aux pêches, la grande tradition du Sud quoi! Mais je n'arrivais pas à me détendre. Je craignais le pire pour la soirée. Je comprenais alors toute l'anxiété qu'avait dû ressentir Dave quand je l'avais amené dans le parc De Soto avec les deux ados rencontrés à Biloxi. J'avais un nœud dans l'estomac et la nourriture n'entrait que lentement et en petite quantité. Je fus vite rassasié. La conversation se prolongeait. Il faisait nuit depuis longtemps quand on entendit la fameuse musique qui avait joué pour le rassemblement de l'après-midi en vue du service collectif. Cette fois-ci, elle annonçait le « service spécial » dont le grand blond et moi en serions l'attraction principale. Je bandais malgré l'anxiété et malgré des battements de cœur à cent cinquante à l'heure. J'étais terriblement excité à l'idée d'une initiation, d'une sorte de bizutage. Durant mon adolescence, j'avais souvent rêvé initier les copains de classe pour lesquels j'avais le béguin. Jamais cependant, je n'avais vraiment imaginé que je pourrais être l'initié, celui qui devait subir le « châtiment ».

Nous nous sommes tous dirigés docilement vers la maison ronde de l'après-midi. Chris, le maître des lieux nous y attendait. Quand il me vit entrer en compagnie de John, il me fit signe de venir le rejoindre. William, l'autre nouveau, le grand blond aux yeux verts, était déjà à ses côtés. Quand tous furent assis, les tuniques relevées montrant encore une fois tous les sexes dont plusieurs étaient déjà bandés en prévision de la branle d'initiation, il nous représenta de nouveau, les deux postulants, en indiquant cette fois que nous étions réunis pour un « service spécial » dont le but était de nous introduire « convenablement » dans le cercle Il expliqua que le service serait divisé en trois étapes. La première consisterait pour nous deux à nous approprier une part de l'intimité de chacun des membres du cercle. Cela s'appelait « faire le tour du soleil ». La deuxième consisterait pour nous deux à livrer une part de notre intimité au cercle : « le soleil tourne sur lui-même ». Quant à la troisième étape, j'ai su, au moment opportun seulement, qu'elle aurait lieu le lendemain matin à l'aube. Elle me semblait plus mystérieuse que les autres étant donné son appellation : « faire jaillir les rayons du soleil ».

J'ai oublié de dire que, si le camp était administré par Chris, il n'était pas le seul à y travailler. Il y avait des gens pour le ménage, la cuisine et le service général. Quand le camp était masculin, le personnel était uniquement composé d'hommes. C'était l'inverse quand le camp était féminin. Le personnel, bien que légèrement et officiellement rémunéré, était composé de membres du club qui y faisaient un service «presque» bénévole. À l'occasion, quand il y avait un grand service collectif, ils participaient à la grande branle. Mais le plus souvent, ils s'en abstenaient et se concentraient sur leur tâche. La plupart étaient plus âgés, dans la cinquantaine souvent. Ils portaient tous une tunique longue comme le maître, de couleur bleu foncé cependant.

Ce sont deux de ces accompagnateurs ou `serviteurs', sortes de GO de Club Med, qui s'approchèrent de William et moi quand Chris eut fini de parler. Ils nous invitèrent à les suivre dans une toute petite pièce, sorte de sacristie, pour nous préparer à la première étape et pour permettre au groupe de s'installer en vue du « tour du soleil ».

William et moi avons dû enlever notre tunique et nos sandales et enfiler un slip fait de mèches de nylon, comme un filet de pêche, de couleur blanche, et complètement transparent. Le slip ne faisait que retenir le sexe et soutenir les fesses; il ne cachait rien du tout. Quand je vis William dans son filet, je le trouvais encore plus sexé. Sa belle queue blanche et rose pâle était tordue et retournée vers le bas du filet et ses belles fesses remontées et tendres étaient comme offertes sur un plateau...de nylon.

On nous indiqua que nous allions être introduits dans la grande pièce un à un, à quelques minutes d'intervalle. Le premier de nous deux devait se présenter à genoux devant le premier membre assis à la droite en sortant (le cercle étant légèrement ouvert pour faciliter notre orientation), le second au premier membre à gauche en sortant. Notre tâche consistait à chercher les nuances ( douceur de la peau, odeur, forme particulière de leur organe, bref ce qui nous excitait le plus dans chaque corps en allant de droite à gauche ( William) ou de gauche à droite ( moi) et de supplier l'invité de nous les révéler plus complètement..

Ma mémoire me représentait déjà la plupart des corps vus durant l'après-midi et je bandais fort à l'idée de pouvoir en apprécier les détails.

William sortit en premier et j'ai entendu les applaudissements quand il vint sans doute s'agenouiller devant le membre le plus à droite. J'ai compris alors qu'au milieu du cercle, William et moi allions nous croiser. Que se passerait-il alors?

Puis, mon tour arriva. J'eus droit aussi aux applaudissements. La salle était dans une demi-obscurité uniquement éclairée aux chandelles et par la voûte de verre qui laissait percer la faible lumière d'un ciel étoilée. Tous les gars étaient nus dans leur fauteuil respectif ou sur les canapés; les tuniques et les sandales étaient encore une fois rangées derrière les sièges. Une musique sexée et douce jouait.

Mon premier invité était le Noir costaux si bandant de l'après-midi. Je l'examinais se masturber lentement en attendant mes demandes. Je ne savais pas quoi faire ni quoi dire. Finalement, j'ai décidé de suivre chaque image qui se présenterait à mon esprit. « J'aimerais que tu écartes les jambes » lui dis-je. « Il faut toujours que tu nous dises pourquoi, me répondit-il. C'est de cette façon que tu vas apprendre à exprimer et à expliciter tes désirs ». C'était une gentille manière de me venir en aide et de soutenir mes apprentissages.

« Je veux voir ton entre jambe, ça m'excite beaucoup de voir comment ta poche repose entre tes cuisses. » Il obtempéra. Je savais maintenant comment il fallait que je fasse et je croyais commencer à comprendre à quoi cela servait. J'ai examiné sa poche comme je l'avais souhaité, puis je me suis surpris à lui demander de me montrer comment il jouait avec elle d'habitude.

Il sourit en me disant que j'apprenais vite et qu'il était fier de moi. Avec ses deux mains, il releva sa poche et l'étira vers le haut. Il mit de la salive sur la paume de sa main et entreprit de bien mouiller son sac de couilles. Il mit beaucoup de salive jusqu'à ce que le mélange des deux odeurs, celle de son scrotum et celle de la salive, exhale une combinaison d'odeurs assez fortes. Il reprit alors sa masturbation comme si c'était pour moi tout seul. Il tirait et il caressait sa poche avec sa main libre en me la montrant de tous les côtés. Je suis allé mettre mon nez dessus...et puis ma langue. « You like my balls? » (Tu aimes mes couilles) me dit-il. Et sans attendre ma réponse, il ajouta : « You're right Bigboy! They smell and taste very good (T'as raison, Grand Garçon, elles sentent et elles goûtent très bon). Lick them for me, BigBoy! And put your tongue under them, near my ass hole! (Lèche-les pour moi, Grand Garçon, et met ta langue derrière elles, près de mon trou de cul! » Quelle merveille! Et ce n'était que le début.

2è invité : À côté de lui, se branlait le grand roux à lunettes, cheveux longs et longue queue, qui s'était sucé durant l'après-midi. Ça m'avait beaucoup excité. Je lui ai demandé s'il ne voulait pas se sucer encore un peu pour moi et ce qu'il aimait qu'on lui fasse quand il se suçait ainsi devant quelqu'un.

Il me chuchota à l'oreille, qu'il voulait que je lui mette un doigt dans le cul et que je lui tire les cheveux pendant qu'il enfonçait sa queue dans sa gueule. Wow! Allais-je pouvoir me rendre au dix-huitième avec une telle excitation? Il se laissa glisser sur le plancher, lança ses jambes derrière sa tête et amena sa bite sur le bord de sa bouche qui s'ouvrit instantanément pour l'accueillir. J'ai retenu son dos avec ma poitrine et j'ai planté mon majeur dans son cul. Sa bite entra de moitié dans sa bouche au moment où j'ai attrapé une bonne poignée de ses cheveux. Je me suis mis alors à tirer assez fortement. Ses lunettes se déplacèrent sur le côté, ce qui lui donna un air d'enfant battu. Je n'ai pas eu besoin, dans cette pause, de lui labourer le cul bien longtemps. Je l'ai entendu gémir et, sortant légèrement sa queue de sa bouche, je fus témoin de quelques bonnes giclées de sperme qui glissaient dans son gosier. « Thanks, Little Bro! (Merci, petit frère!) me dit-il en souriant.

3è invité : Le suivant était un grand châtain, cheveux en brosse avec les yeux bleus. Quand il me vit approcher de sa place, il se leva, mit un pied sur le siège et déposa l'autre par terre. Il se retourna de manière à ce que je vois son derrière mais aussi son scrotum pendant à cause de la jambe relevée. « I want you to lick my ass, Baby! (je voudrais que tu me lèche le cul) ». « Mais tu as de si belles fesses, lui dis-je, je voudrais d'abord les lécher et les mordre et les voir un peu rouges » En effet, il avait des fesses toutes blanches, sans aucun poil, bien moulées, pas très grosses mais justes assez fermes et rondes pour qu'on ait envie de les frapper et de les mordre. « Tu peux faire ce que tu veux si tu me lèches le cul après. Prépare-moi bien à ta langue! » C'était un rêve! Je me pinçais pour savoir si j'existais. Je l'ai penché vers l'avant et j'ai commencé à lui donner une bonne fessée. À chaque coup, la plainte qui sortait de sa bouche me disait plus « encore » qu'« assez ». Il se masturbait avec passion durant mon traitement. Quand j'ai vu que ses fesses étaient devenues d'un rose assez foncé, j'ai fourré ma langue dans son cul, qui sentait le petit garçon imberbe qui a eu un peu chaud, et j'ai répondu à sa demande. Il criait de plaisir, mais il arrêta juste à temps pour ne pas jouir. Il savait que William viendrait aussi tantôt lui donner du plaisir.

4è invité : John était le suivant. Je me sentais mal à l'aise parce que lui, je savais ce qu'il aimait et j'avais déjà partagé beaucoup avec lui. Aussi, dès que mes yeux le rencontraient, c'était toujours comme au premier coup d'œil dans son bureau de Mobile; il me faisait bander instantanément.

Je lui ai souri et je lui ai dit que, malheureusement, il n'y avait pas ici de petits miroirs, car je lui demanderais de me faire un show avec le miroir. En entendant mes paroles, l'un des acolytes serviteurs à longue tunique bleue, se précipita dans une armoire et en sortit un miroir d'environ 60 X 70cm et le tendit à John.

John le déposa sur le sol et s'accroupit sur le miroir, les pieds de chaque côté. On voyait clairement sa queue et son cul dans le miroir. Je me suis placé devant lui dans la même position et, tous les deux, on se branlait en se regardant alternativement. La salle semblait enchantée du spectacle par les murmures qu'on entendait.

Avant de passer au suivant, j'ai jeté un œil à William qui avait la tête enfoncée dans l'entrejambe relevée de Jack (celui qui avait été volontaire au thé de l'après-midi). Il semblait très bien se débrouiller avec sa propre initiation.

5è invité : Le suivant était un homme au début de la quarantaine. Il était grand, mince, les cheveux poivre et sel, mais plus poivre que sel, un peu poilu sur les jambes et les bras. Il avait de grandes jambes fines et des pieds magnifiques, larges et sensuels. Il avait la bouche légèrement ouverte comme certaines gens quand ils sont très excités. Ses pieds dégageaient une forte odeur. Il devait avoir des problèmes de ce côté là car le fait de se promener en sandales aurait dû faciliter la respiration des pieds et diminuer sinon supprimer complètement les odeurs. Mais c'était un gars dont la charpente était très carrée. Il avait dû être un athlète parfait à l'âge de 20 ans environ. Il était encore extrêmement sexé et séduisant. Il se dégageait une sorte d'aura sexuelle de sa personne. Il m'avait l'air timide et cela avait certainement été très difficile pour lui de s'inscrire à ce camp. J'ai appris plus tard, le lendemain, qu'il était vétérinaire et qu'il souffrait d'une pulsion sexuelle presque insatiable. Il se masturbait plusieurs fois par jour, vivait seul, n'avait ni femme ni amant et n'arrivait pas vraiment à clarifier son orientation sexuelle. Il voulait du cul et souvent. Sa timidité le confinait à la masturbation. Il était venu à ce groupe pour arriver à des orgasmes plus satisfaisants, espérant qu'il aurait besoin alors de jouir moins souvent. Je lui ai demandé ce qui le branchait le plus quand il se branlait et quel jeu l'allumait le plus. Il était incapable de répondre clairement, trop timide sans doute. Il me dit simplement: « J'aime toutes sortes de choses ». Mais il avait les jambes bien ouvertes et se caressait le cul en se branlant. Je voyais qu'il avait tendance à remonter ses pieds et à respirer fort. J'ai décidé de forcer les confidences par des affirmations. « Tu aimes tes pieds? » lui dis-je. Il fit « oui » de la tête. « Tu aimes leur odeur? » Il fit « oui » encore une fois. Tu aimes caresser ton cul? » Le même geste se répéta. « Sens-le sur tes doigts, lui dis-je, pendant que je vais lécher tes pieds. » Ses yeux devinrent grand ouverts de plaisir anticipé. Je tenais un de ses pieds dans une main et le léchait pendant que je lui caressais le cul de l'autre et qu'il sniffait ses doigts. Il était au bord de jouir quand je l'ai laissé...je voulais qu'il en reste un peu pour William.

Avant de passer au suivant, je lui ai dit qu'il devait y avoir des taches de sperme partout sur les fauteuils et les canapés chez lui. Il a rougi intensément et m'avoua qu'il n'invitait personne chez lui à cause de cela justement et me demanda comment j'avais deviné? Je lui ai répondu qu'il avait un corps sur lequel on avait envie de bander jour et nuit. Il n'était pas un mannequin mais un homme ultra sensuel, voire sexuel, et que, si j'avais un corps comme le sien, j'aurais envie de me masturber plusieurs fois par jour. Il sourit avec sérénité. Je venais de le rassurer sur ses pratiques.

6è et 7è invités : Les deux suivants étaient des Noirs, super costaux avec de gros, larges et impressionnants engins. Ils voulaient se faire sucer. J'ai fait ce que j'ai pu, mais la configuration de ma bouche et de ma gorge ne me permettait pas de les satisfaire pleinement.

Puis, j'ai croisé William, mon co-initié, qui avait fait le parcours en sens inverse. Chris nous demanda de monter quelques minutes sur le lit rond avant de poursuivre notre tournée et de nous amuser un peu pour le plaisir des membres du groupe : une sorte de pause quoi. On a baissé nos slips transparents qui maintenant dégoulinaient de precum. On a pris la position 69 et, chacun mettant un doigt dans le cul de l'autre, on s'est sucé avec délices. On tournait par moments dans le sens des aiguilles d'une montre pour que chacun ait son dû du spectacle.

Puis, on a repris notre parcours, William allant vers mes découvertes et moi vers les siennes.

8è et 9è invités : Les deux suivants étaient des frères, qui n'avaient que 19 et 20 ans. Ils n'étaient pas jumeaux mais ils se ressemblaient énormément. Les deux étaient blonds, glabres, avaient les yeux bleus et des fesses splendides rondes, montées, blanches dont on sentait la texture au seul regard. Elles étaient douces, caressantes, fermes, serrées (la craque s'ouvrait à peine et il y avait beaucoup de chair de la craque au cul; c'était un long chemin). Inutile de dire davantage avec quoi j'ai voulu m'amuser quand je suis arrivé devant eux. J'ai placé les deux fessiers l'un à côté de l'autre et je les ai caressé avec la paume de ma main d'abord, ensuite avec le bout des doigts en remontant et descendant la craque enfonçant mes doigts de plus en plus profondément à chaque remontée et fouillant jusque derrière leur scrotum. C'était humide et chaud et ça sentait super bon! Puis, je leur ai demandé de se pencher vers l'avant et j'ai fourré mon nez et ma langue dans la craque de ces deux merveilles de culs. Wow! Sans un rappel à l'ordre de Chris qui m'invitait à poursuivre, je serais resté là toute la nuit.

10è invité : Le suivant était un homme près de la cinquantaine mais un véritable sportif. Il était moyennement grand, les cheveux plutôt gris que noirs. Mais, il avait un corps musclé, ferme et tout à fait solide. Il avait cependant une petite queue et semblait fort contrarié par cet inconvénient. Toutefois, il en usait avec dextérité et sa personne dégageait une sexualité exigeante et généreuse.

Je me suis amusé longtemps avec son petit pénis après avoir observé comment il s'y prenait. Du bout des doigts, mais en utilisant les deux mains, je chatouillais son pénis de haut en bas et je poursuivais mes chatouillements autour et en-dessous de son scrotum. Il semblait ravi et les bruits qu'il émettait m'indiquaient de poursuivre mes explorations tactiles. Je me suis arrêté quand j'ai compris qu'il ne tiendrait plus le coup très longtemps à ce rythme là.

11è invité : Le suivant était particulièrement petit et plutôt maigre. Il devait être à la fin de la trentaine. Il avait les cheveux taillés à la militaire; ils étaient si courts qu'on eut dit qu'il était chauve. Mais cela lui donnait un genre très sexé. Sa présence et sa taille suscita une question dans mon esprit. Parmi les participants à ce camp, il y avait des petits, des minces, des longs, des plus jeunes et des plus vieux, mais personne n'était obèse ou trop gros. J'ai posé la question à John au retour du camp. Si le groupe Celebrate the self était ouvert à tous sans discrimination pour les conseils, les conférences et de nombreuses activités, les camps, qui avaient pour but de mener chacun à une plus grande admiration de soi-même conduisant vers une plus grande autosatisfaction, étaient réservés à ceux qui ont fait préalablement l'effort nécessaire pour améliorer l'image d'eux-mêmes d'abord. Les outre-mangeurs, les outre-buveurs et autres personnes intempérantes étaient invitées à suivre d'abord un programme d'activités physiques ou (et) dans certains cas, un régime alimentaire. Quand ils avaient fait des progrès suffisants et commençaient à mieux s'aimer, ils étaient alors admis aux camps.

Le petit était nerveux, agile et jouait divinement avec sa belle, longue et grosse queue. Il changeait de main pour se masturber, changeait de méthode, de prise et se regardait faire avec admiration. Il semblait adorer son petit corps. Quand il me vit approcher de sa place, il leva les jambes et appuya ses pieds sur le siège du canapé. Il écarta les jambes et me pria de le branler dans cette position et de jouer avec sa poche et ses couilles. C'était super! Je mouillais le plancher de filaments de bave de queue.

12è et 13è invités : Les deux suivants étaient des Latinos venus du Texas. Ils étaient bien sûr petits comme la plupart d'entre eux et totalement glabres comme ils le sont tous ou presque. Ils avaient cette sorte de peau qui ne laisse presque pas sortir la sueur, un peu comme chez les Indiens de l'Amazone. Cette peau, douce comme du satin, a cette particularité de maintenir les liquides dans le corps et d'éviter la déshydratation en zone équatoriale. J'ai pris plaisir à les caresser par tout le corps ne négligeant aucun recoin. Ils gémirent tout particulièrement quand je me suis aventuré dans leur entrejambe.

Je sentais mes mains glisser comme dans du beurre tellement c'était doux, lisse et légèrement humide et gras. J'ai osé entrer un doigt dans leur anus et il a disparu rapidement à l'intérieur comme aspiré, sans qu'il n'y eut aucune résistance. Les Latinos avaient les yeux ronds et très ouverts, comme leur cul au moment où je les pistonnais. Je me suis arrêté juste avant leur jouissance.

14è invité : Le suivant, c'était Jack, celui qui s'était présenté comme volontaire pour le cercle de l'après-midi et qui ressemblait, du moins sur les photos qui nous sont parvenues de lui, à l'écrivain Jack Kérouac. Il avait montré son intérêt pour l'auto fellation de même que pour ce que j'appellerais `l'orteil-fellation' et pour la masturbation de dos, penché, les jambes bien écartées pour qu'on puisse voir son cul en même temps que sa queue qu'il branlait vers le bas. En arrivant en face de lui, j'ai remarqué que son méat laissait couler une abondante quantité de liquide, sans doute la conséquence directe du récent passage de William.

Je lui ai donc demandé de reprendre la position qui semblait tant lui plaire durant l'après-midi. Mais, cette fois-ci, j'ai glissé ma tête entre ses jambes bien écartées pour engouffrer son pénis dans ma bouche. Avec un doigt j'ai pénétré son cul pour rejoindre sa prostate et le masser durant ma fellation. Il hurlait de plaisir en me disant : « Tu as deviné ce que j'aime! Tu sais ce que j'aime! Comment t'as fait pour savoir? » Pourtant ce n'était pas bien malin. Il avait suffi de bien l'observer durant le cercle de l'après-midi. Mon pompage, joint aux excitations précédentes, eut rapidement de l'effet. Je l'ai entendu souffler un bon coup et des flots de sperme emplirent ma bouche provoquant un goût salé et acide. J'ai bouffé sa liqueur en guise de digestif et j'ai poursuivi ma promenade découverte.

15è invité : Le suivant était un grand mince aux cheveux noirs ébène taillés courts et ramenés vers l'avant. Ça lui donnait un air loubard presque dangereux. On n'aurait pas voulu le croiser dans une ruelle tard dans la nuit. Il avait une gueule d'assassin, mais il était un bel assassin, un ange de la mort. Exceptionnellement, même s'il était tout nu comme les autres, il portait autour de la taille une ceinture de cuir noir ornée de boutons métalliques. Je l'avais remarqué depuis le début et j'avais hâte d'arriver à lui. Je l'ai observé se masturber quelques instants avant de le découvrir.

Il avait une bite impressionnante par sa longueur et sa rigidité. Sa couleur aussi; elle était presque bleue. Il avait surtout une poche incroyable. Elle était large, lourde, longue et pendante. Elle devait faire au moins 10 cm de longueur et ses couilles dépassaient la grosseur des œufs catégorie A+. J'ai pensé qu'il devait être dominant. Je lui ai offert alors de s'asseoir sur ma face ce qui sembla le ravir.

Après m'avoir fait allonger par terre, il vint déposer sa lourde poche sur ma face et me commanda de la lui lécher. Ce fut un ordre que je me suis empressé d'exécuter. Ça ne rentrait toutefois pas complètement dans ma bouche pourtant habituée à ce genre de choses. J'étouffais. Puis quand il parut satisfait, il vint carrément s'asseoir sur ma face et mon nez entra dans son cul. Je ne pouvais pas le sucer; c'était mon nez qui lui labourait le cul. Ça sentait fort, mais c'était propre. J'avais l'impression de rentrer en lui, tout en étant envahi par cette bête humaine super sexée et désirable. Je l'entendais souffler et ses mouvements me convainquirent qu'il se branlait. Il se redressa subitement, se tourna dans ma direction juste à temps pour lâcher des lignes de foutre dans ma figure. Wow! J'étais épuisé et mon slip en mèches de nylon débordait de liquide gras. Ma bite flottait dans le jus de ma super excitation. Je savais que je ne devais pas jouir, mais je n'en pouvais presque plus.

Le 16è invité était un Noir mature dans la quarantaine avancée qui avait les cheveux tout gris mais un corps d'Hercule. Il devait avoir fait du sport toute sa vie. J'avais peur qu'il ne me cassât s'il avait osé me prendre dans ses bras de géant. Il voulait simplement que je le regarde se branler. Ça le branchait de se voir examiner par quelqu'un quand il se branlait. Je me demandais s'il disait cela par gêne de me demander autre chose étant donné qu'il était plus vieux que la plupart. Mais il m'avoua qu'il n'en était pas à son premier séjour au camp et que justement le voyeurisme qui y régnait le rendait fou de plaisir. Il payait aussi parfois des jeunes chez lui à Savannah en Géorgie pour qu'ils le regardent se branler. Il prenait son temps et j'ai compris qu'il avait attendu ce moment là pour jouir. Il tripotait sa grosse queue avec une maîtrise digne d'un grand professionnel de la branlette. Il manipulait ses couilles avec autant de maîtrise. Si le camp avait octroyé des diplômes, il aurait mérité un doctorat `honoris causa' en branle supérieure. Presque un quart de litre de foutre jaillit de son machin au moment de la grande explosion. Il s'en est fallu de peu que je l'accompagnasse dans l'éruption.

Les 17è et 18è invités étaient deux jeunes hommes qui étaient copains depuis leur adolescence et qui n'avaient atteint que récemment l'âge légal de 18 ans pour s'inscrire au camp. Ils étaient toutefois secrètement abonnés à Celebrate the self depuis deux ans et rêvaient de s'inscrire à un camp. Ils me révélèrent le lendemain que celui-ci ne serait certes pas le dernier. Ils comptaient bien y revenir. Comme ils étaient amants et adoraient parfois, me dirent-ils, se masturber l'un devant l'autre ou faire « leur affaire » quand ils étaient dans la même pièce, chacun faisant comme si l'autre n'était pas là, j'ai pensé que je pourrais leur faire vivre quelque chose du genre mais devant moi.

Ils occupaient une causeuse deux places, cela rendait la situation plus facile. Je leur ai demandé de se placer l'un en face de l'autre, les pieds de chacun sur les côtes de l'autre et de se branler tout en se regardant. Je me suis placé debout devant eux et je les ai accompagné dans leur jeu. Ils bavaient de désir l'un pour l'autre et ma présence `branlante' augmentait leur excitation.

Ils se rendirent jusqu'au point de non-retour et Karl, le plus mâle des deux, celui qui avait les cheveux noirs (l'autre était blond roux et plus frêle que son copain) brisa net le jeu. Il annonça qu'il ne voulait pas jouir tout de suite car on allait maintenant passer à la phase deux de l'initiation et il voulait demeurer très excité pour ce qui allait venir. J'accueillis très favorablement sa décision parce que je n'aurais pas pu me rendre à la phase deux sans avoir besoin d'une longue pause si j'avais joui avec eux.

William avait terminé sa `promenade du soleil' quand la mienne arriva à sa fin. Chris nous félicita pour avoir franchi cette étape sans éjaculer et nous annonça que nous allions bientôt être récompensés. Nos slips de mèches étaient ultra souillés de liquide et tout collés. Ils sentaient fort. J'ai demandé pour enlever le mien. Cela me fut refusé.

Chris annonça une pause et des serviteurs en tunique bleue apportèrent du thé, des gâteaux et d'autres rafraîchissements mais pas d'alcool. On apporta, pour William et moi, une petite pilule bleue qu'on nous recommanda d'avaler juste avant notre collation. Cela allait faciliter « le mouvement du soleil sur lui-même » nous confia le serviteur qui nous la servit.

Chacun avait remis sa tunique et quelques uns leurs sandales, sauf William et moi. Nous n'étions pas autorisés à nous vêtir. On bavardait et on se racontait comment on avait vécu tel ou tel étape de la promenade du soleil. Je me rendais compte à quel point cela était facile, ou presque, de vivre ses fantasmes au camp, sans honte en tout cas, mais pas sans gêne. Celle-ci qui était souvent présente en effet et elle augmentait l'excitation. Je comprenais tout à coup à quel point la vie de tous les jours pourrait être améliorée et embellie si chacun s'autorisait à vivre ses fantasmes et tâchait de les partager avec d'autres. C'était trop beau pour être vrai. Des êtres, parfois même très beaux, vivaient souvent une grande solitude. Ils cherchaient trop l'être idéal avec qui faire l'amour au lieu de se satisfaire d'un être plus ordinaire, merveilleux dans son genre avec lequel partager ses fantasmes secrets. Une condition était nécessaire cependant, comme je l'avais compris, il fallait que l'être rencontré puisse s'aimer assez pour comprendre que l'autre pouvait le désirer. Les personnes qui se trouvaient moches et qui ne comprenaient pas qu'on puisse les trouver excitantes, n'étaient pas des compagnons ni des compagnes agréables. Il faut s'aimer et être en mesure de se désirer, jusqu'à un certain point, pour pouvoir se révéler à l'autre et réciproquement.

Après une vingtaine de minutes de pause, le médicament absorbé commença à faire son effet. Je me sentais ultra excité. J'avais recommencé à bander, mais cette fois-ci mon excitation était accompagné de battements de cœur et d'une chaleur envahissante. J'avais l'impression d'avoir sniffé des poppers mais sans l'effet désagréable dans la tête. J'avais l'impression aussi d'avoir perdu toute forme d'inhibition.

William et moi nous sommes regardés et nous avons compris instantanément que nous avions la même sensation. Presque en même temps, notre main se mit à fouiller l'intérieur de notre slip de nylon. On récoltait de longs filaments de liquide filandreux que l'on se mit à laper.

Peu à peu, plus rien ni personne ne nous dérangeait. Mille spectateurs ne nous auraient pas empêchés de nous tripoter, de nous branler et de jouir de nos corps. Même la menace de la prison pour grossière indécence n'aurait pu nous arrêter. J'ai compris que la petite pilule devait être responsable de cet effet là. Voyant notre état respectif, Chris annonça la phase deux de l'initiation : Le soleil tourne sur lui-même.

Chacun reprit sa place et enleva sa tunique et ses sandales pour qui les avait remises. Les yeux presque hors de la tête, prêt à nous manger, William et moi étions debout à côté de Chris attendant fébrilement ses ordres. Il nous annonça qu'après avoir profité de chacun des invités, c'était maintenant au tour des invités à jouir de nos corps. Mais ils en jouiraient d'abord à la manière Celebrate the self, c'est-à-dire en nous regardant profiter de nous-mêmes. Il nous invita à prendre place tous les deux sur le lit rond au centre du cercle et de nous livrer à nos fantaisies en leur laissant libre cours. William et moi n'avions plus besoin d'autres indications tant les couilles nous bouillaient dans le ventre et tant il nous était impérieux de se vider le réservoir à jus.

On s'est presque lancé tous les deux sur le lit. Instinctivement, on se suivait l'un l'autre. Celui qui initiait un geste était tout de suite imité par l'autre et vice-versa.

On se jeta à genoux sur le lit face à notre public et on caressa nos slips de mèches de nylon, plongeant nos mains librement et goulûment à l'intérieur ramassant le plus de jus possible et venant l'étendre sur nos joues, notre bouche et sous notre nez. On en mettait aussi dans nos cheveux pour sentir le sexe longtemps et de partout. On ne voyait plus personne. Le public n'avait plus aucune importance. On était comme seuls au monde tous les deux.

On se pinçait les seins après les avoir mouillés de salive et on tirait sur les mamelons jusqu'à de ce que la douleur nous fasse lâcher prise. Je me prenais les couilles à deux mains et je les relevais vers l'avant. Le public croyait que c'était pour le show, mais c'était seulement pour sentir que j'allais pouvoir les vider. Comme je l'ai dit, le public n'existait plus. La pilule m'avait transformé en bête de sexe. J'étais devenu mon pénis et mon cul. Je ne voyais presque plus William sauf à l'occasion pour constater qu'il faisait comme moi ou pour adopter ses gestes. Il se jeta sur le matelas du lit de tout son long, ce que je fis également, et relevant ses jambes, il se fourra un doigt dans le cul pour aller stimuler sa prostate. Je l'ai imité.

Dès que mon doigt eut pénétré, j'ai perdu de nouveau le contact avec l'entourage. Je n'étais que vibrations, battements de cœur, pulsations, tremblements, gémissements, plaintes, cris même et je me remuais comme dans une soupe de plaisirs. À un certain moment, j'ai pris conscience de l'existence de William. Je me suis jeté sur lui comme pour prendre une position 69, mais je me maintenais haut, appuyé sur le bras gauche complètement allongé. Je le regardais se branler avec un doigt dans le cul et le spectacle, vu de si près, était époustouflant.

J'ai pris aussi conscience que lui aussi assistait à un show, le mien. Il me voyait me branler de la main droite et avait une vue imprenable sur mon cul et mon sac de couilles qui ne pendaient plus parce qu'elles étaient maintenant toutes coincées au bord de mon ventre. Entre mes jambes, je vis la figure de William qui était presque convulsée de plaisir et, au moment où ses yeux roulèrent dans leur orbite, j'ai franchi avec lui le point de non-retour et nous avons éjaculé tout autour du lit dispersant notre foutre comme une épandeuse de sel sur les chaussées glacées de mon pays, les soirs de grand froid durant l'hiver.

Puis on s'est effondré l'un à côté de l'autre et je ne me souviens plus très bien de la suite. Quelques minutes plus tard ou une heure plus tard, je n'en sais rien, j'ai senti que je revenais à la réalité et je vis John qui m'avait recouvert d'une lourde couverture m'aider à me relever pour me reconduire à la cabane. Jack s'occupait de William. Il était lui aussi recouvert d'une couverture et se dirigeait vers sa tente avec Jack.

Mais ne devait-il pas y avoir une troisième étape? Pour l'heur, je ne voulais que dormir.

À suivre...Dernier épisode : Faire jaillir les rayons du soleil

Alexandre

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