Big Apple 4
Jamais deux sans quatre
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Quand nous nous sommes quittжs ce jour-lЯ, Stephen жtait particuliУrement nerveux et tendu. Il me demanda un autre rendez-vous. Je le lui accordai d'autant plus volontiers que j'avais bien hРte de connaЬtre la suite. Mon employeur, croyant que j'en avais fini avec Stephen, faisait un peu pression sur moi pour que je prenne quelqu'un d'autre. Ф Il y a beaucoup de demandes ╗ me lanуa-t-il comme pour que j'accжlУre les choses. PremiУrement, je me sentais liж Я Stephen et je ne voulais pas l'abandonner au milieu de son rжcit ni le forcer Я se rжvжler plus vite que sa capacitж psychologique le lui permettait. DeuxiУmement, j'жtais trУs curieux de connaЬtre la suite d'autant plus que toute son histoire et les dжtails qu'il osait me livrer, me faisait bander au maximum et, lors de sa derniУre visite, il n'жtait pas sorti que je me prжcipitais tout nu dans mon fauteuil pour me branler en ayant en tЖte les tas d'images qu'il y avait installжes.
Il revint le jeudi suivant. AprУs les salutations d'usage et mes questions sur son жtat gжnжral, il a poursuivi son rжcit.
...
Le lendemain de cette soirжe avec Danny et Eddy, c'жtait Colombus Day, donc congж aux USA. Les garуons se levУrent vers 11 heures. Stephen жtait debout depuis longtemps. Il avait mal dormi. Il жtait plongж dans une profonde rжflexion, vautrж sur le canapж du salon quand les garуons descendirent pour dжjeuner.
Avant de poursuivre son rжcit, et pour que je puisse vraiment imaginer ce qu'il avait vжcu, il me dit qu'il fallait qu'il me dжcrive les deux garуons et me montre une photo. La photo avait жtж prise aprУs une victoire sportive. Les deux garуons arboraient un large sourire et se tenaient par le cou, serrжs l'un contre l'autre comme le font gжnжralement tous les grands vainqueurs sportifs.
Elle rжvжlait l'extraordinaire beautж de leur figure et de leurs жpaules, mais pour le reste c'est l'imagination qui devait prendre la relУve. Stephen me dжcrivit donc chacun comme une merveille complжmentaire l'une de l'autre. Comme je l'ai dжjЯ dit plus haut, Danny жtait un grand chРtain assez clair (17 ans) aux yeux noisette. Il avait les cheveux un peu bouclжs, des lУvres sensuelles bien que plutЗt minces ainsi que des paupiУres fines avec de longs cils fins. Il avait un nez grec, droit et long, mince Я la racine et plus large Я la base. Des narines qui vous donnaient envie de les introduire oщ vous savez. On l'entendait respirer comme s'il cherchait toujours Я vous possжder par son nez. Il жtait dжjЯ grand (six pieds) et large d'жpaules. Ses fesses, rondes, fermes et longues comme de magnifiques mangues жtaient perchжes haut sur ses jambes qui n'en finissaient plus de s'allonger. Il avait un air gжnжral qui ressemblait Я l'acteur Heath Ledger, rжcemment dжcжdж, qui avait jouж le rЗle d'Ennis dans Brokeback Mountain. Mais il жtait beaucoup plus jeune que Heath bien sчr et un peu moins costaud. Ф Tu imagines, me dit Stephen, ce que cela peut faire bander de se masturber devant un mec pareil ╗.
Quant Я Eddy, il жtait un peu son contraire mais aussi attirant. Il жtait brun foncж aux yeux verts (ce qui est trУs rare) avec de larges sourcils longs et жpais qui lui donnaient un air un peu italien. Le teint жtait foncж. La tЖte plutЗt oblongue et mince avec des lУvres minces et serrжes qui lui donnaient un air timide. Mais son air gжnжral жtait vif et amusж, ce qui rжtablissait l'жquilibre et mettait de l'humour dans son regard un peu sжvУre et intimidant. Il жtait plus petit que Dan et plus filiforme, mais tout de mЖme assez grand et musclж pour jouer dans une жquipe de basketball. Lui, il avait les fesses serrжes et longues, rabattues sur elles-mЖmes de sorte qu'il fallait bien les жcarter pour apercevoir le Ф saint des saints ╗.
Tous les deux avaient une queue magnifique. Dan n'жtait pas circoncis; Stephen s'y жtait personnellement opposж. Il avait un morceau d'athlУte de 18cm environ qu'il tenait admirablement et trУs жrotiquement dans sa main droite en se branlant. Le prжpuce жtait trУs facilement rжtractable et il adorait s'amuser Я le descendre et Я le remonter. Une grosse paires de couilles pendaient lourdement dans un sac tressж de plis profonds mais conservant toute sa douceur comme certains fruits tropicaux qui ont l'apparence d'Жtre durs et rugueux mais qui se laissent caresser comme des pЖches. Et tout уa rendait une odeur de lait de bжbж, un peu caillж, surtout derriУre la poche entre les couilles et le cul. C'жtait intoxiquant.
Y goчter, c'жtait en prendre immжdiatement l'habitude. Ф Et je ne vous parle pas de son cul ╗, me dit Stephen. Il dжgageait une somptueuse odeur de cave oщ vieillissent de grands vins et d'oщ remontent des fragrances de cжpages et de tonneaux de chЖne. Dans un cul profond comme le sien, on voudrait y mourir, Я tout le moins s'y saouler ╗.
Eddy avait une queue plus courte, mais trУs respectable, me dit Stephen, au-dessus de la moyenne tout de mЖme. Elle жtait plus large que celle de Dan et elle жtait circoncise. Elle жtait terminжe par un gros gland rose aux reflets mauves qui lui donnait l'impression d'Жtre chaude voire brчlante. Ф On n'avait qu'une envie, me dit Stephen, c'жtait de la bouffer et de la lжcher jusqu'Я ce qu'elle crache tout son jus ╗.
Ф Il savait aussi trУs bien s'en servir et se masturbait la main ouverte sous la hampe comme pour faire plus homme. Elle жtait aussi prolongжe par un large sac contenant de belles couilles serrжes. Mais la poche жtait lisse, sans poil et foncжe, presque noirРtre. Elle sentait le musc et les parfums plus capiteux comme le patchouli parfois. Son cul жtait sombre, entourж de poils noirs et conservait toujours, mЖme aprУs la douche, l'extraordinaire variжtж des parfums d'un comptoir d'жpices du Caire. Il y avait au menu du cari, de la coriandre, du curcuma, du macis, et tout cela baignait dans un fumet de citronnelle ╗. ...
La description de Stephen me rendait malade d'envie. Je voulais Я la fois qu'il cesse de m'en parler car j'en bavais et je voulais qu'il ne s'arrЖte jamais jusqu'Я ce qu'il me les ait amenжs pour ma parfaite satisfaction tant visuelle qu'olfactive, tant tactile que gustative. ...
Donc, quand les garуons descendirent pour dжjeuner ce fameux matin de Columbus Day, ils жtaient enjouжs malgrж les cernes d'une nuit plutЗt courte. Stephen n'osa pas leur demander Я quoi ils avaient occupж leur temps entre sa sortie de la chambre la veille et leur chute dans le sommeil. Il se doutait trop bien de leurs jeux et il ne voulait ni paraЬtre trop indiscret, ni devenir jaloux de leurs plaisirs.
Ils mangУrent comme si tout жtait normal, comme s'il ne s'жtait rien passж. Puis, ils montУrent se doucher et s'habiller et redescendirent lui annoncer qu'ils allaient chez Eddy. Ce dernier portait un petit sac sous le bras qui parut жtrange Я Stephen. Mais il ne pouvait tout de mЖme pas lui demander ce qu'il emportait avec lui dans ce sac.
Stephen passa le reste de la journжe Я faire des comptes et un peu de mжnage. Vers 16 heures, le tжlжphone sonna; c'жtait Peter, le pУre d'Eddy. Comme il n'y avait parlж qu'Я de rares occasions, Stephen sentit son cюur descendre dans ses talons. Il жtait certain que les garуons avaient parlж. Mais, le ton de la voix жtait plutЗt rassurant. Peter sentant le malaise de Stephen insista pour savoir si tout allait bien. Devant une rжponse positive, il poursuivit la conversation et fit rapidement sa proposition. Les garуons l'avaient convaincu, disait-il, que ce serait chouette d'aller passer le dernier week-end d'octobre, soit celui de l'Halloween, dans les Catskills. On pourrait louer un petit chalet et savourer les derniers beaux jours de l'automne. Les garуons n'avaient vraiment jamais eu de vraie vie de famille. Ils se sentaient comme des frУres, Pourquoi ne pas leur faire cette joie de se retrouver pour un week-end, chacun avec son papa. Ils avaient maintenant 17 ans et bientЗt, ce genre de plaisir familial ne serait plus possible. Ils auraient leurs affaires de cюur et...Et puis, c'жtait leur idжe aprУs tout! Cette derniУre phrase sentait le complot, mais comment Stephen pouvait-il faire part Я Peter de ses apprжhensions sans lui rжvжler son Ф horrible ╗ secret. Mieux valait jouer les innocents. Il accepta donc en vantant les mжrites de cette idжe originale; mais il tremblait de tous ses membres.
En fait, les garуons avaient bРti tout un plan. Au cours des deux semaines Я venir, Eddy se sentant ragaillardi par les succУs de son copain Danny avec son pУre, avait dжcidж d'arriver Я ses fins avec son propre pУre. Le week-end aux Catskills serait l'apothжose de son triomphe ou plutЗt de leur triomphe. Le soir mЖme du Colombus Day, aprУs le dжpart de Danny, Eddy dжcida de jouer une premiУre carte importante. Quand son pУre, Peter, lui souhaita la bonne nuit, Eddy rжsolut de retarder son sommeil par une branlette bruyante qui ne pourrait pas ne pas dжranger voire exciter son pУre. └ peine жtait-il allongж qu'il commenуa de se masturber en faisant de longs et profonds gжmissements.
Il ne fallut pas beaucoup de temps pour qu'il perуoive ceux, non moins intenses, de son pУre. Il le laissa s'abandonner Я son plaisir, mais contrairement Я ce qui жtait devenu une habitude entre eux depuis longtemps, il se leva et se dirigea droit dans la chambre de son pУre. Peter fut saisi d'effroi quand il vit son fils, tout nu et bandж, devant lui et qui venait le surprendre au milieu de sa branlette en allumant brusquement la lumiУre. Ф Eddy! Qu'est-ce que tu fais lЯ? Tu sais qu'on n'entre nulle part sans frapper! Vas t'en!╗ Mais non seulement Eddy ne partait pas, il avanуait vers le lit et venait s'allonger Я cЗtж de son pУre. Ce dernier avait eu le rжflexe de couvrir son sexe bandж de son slip. Ф Mais qu'est-ce que tout cela signifie? ╗ lanуa fortement Peter. Ф Cela signifie, rжpondit Eddy, que le mensonge a assez durж. Je sais que tu te branles quand je me branle et vice versa. Кa t'excite d'imaginer ce qui se passe dans ma chambre quand tu entends mes gжmissements et moi aussi уa m'excite de t'entendre gжmir quand tu te masturbes. Alors j'en ai assez des images. Je veux du vrai. Je veux te voir te branler devant moi ou plutЗt avec moi. ╗ Et, terminant ces paroles qui avaient terrifiж la figure de Peter, Eddy arracha le slip qui couvrait le sexe de son pУre et le porta Я ses narines. Pжtrifiж Peter ne bougeait pas. Ф Cela m'est dжjЯ arrivж d'emprunter tes slips sales dans le panier Я lessive pour me branler en sniffant le fond pour tenter d'y trouver des restes d'odeurs de ta queue ou de ton cul. Mais je n'en ai jamais eu un qui les avait contenus aussi rжcemment. Wow! C'est super trippant! ╗ Finissant ces paroles, il lanуa Я son pУre son propre slip qu'il avait apportж dans sa main en ajoutant : Ф Le mien aussi a жtж portж toute la journжe. Кa va te donner un avant-goчt ╗ un sourire large et malin remplissait sa figure. Il prit aussi la chance de lancer, sans n'en rien savoir : Ф Toi aussi d'ailleurs tu as dжjЯ `empruntж' mes slips sales pour te branler, n'est-ce pas? ╗ Rouge de honte et d'excitation, Peter opina de la tЖte. Eddy gagnait. Ф Alors, tu dois comprendre et partager mon plaisir. Allez! On se branle ensemble! ╗ Et il empoigna sa queue de sa main gauche en fixant des yeux, un peu refermжs, celle de son pУre.
Lentement Peter porta sa main Я son membre et tenta de reprendre sa masturbation lЯ oщ il l'avait laissж quelques minutes plus tЗt. Il ferma les yeux un certain temps histoire de s'habituer Я ce qui se passait rжellement dans son lit. Puis, temporairement tranquillisж, il les ouvrit pour jouir du spectacle que lui donnait son fils Eddy.
Les deux compУres se regardУrent finalement, tantЗt les yeux braquжs sur leur sexe, tantЗt sur celui de l'autre. Parfois, Eddy reprenait le slip de son pУre et le portait Я ses narines. Ф Tu ne devrais pas faire уa, Eddy. Il n'est pas trУs propre. J'ai travaillж toute la journжe dans le jardin et je n'ai pas pris de douche ce matin. J'allais en prendre une quand je t'ai entendu gжmir. Alors j'ai dжcidж de t'accompagner dans une branlette avant d'aller me laver. Mon slip sent sчrement trУs fort et moi aussi d'ailleurs ╗, conclut Peter.
Ф C'est pour уa que уa sent si bon ╗, ajouta Eddy. Ф Pendant des annжes, j'ai жtж fascinж par ton cul. Quand tu te penchais pour travailler dans le jardin ou pour rжparer quelque chose, je me postais derriУre toi et je t'examinais en rЖvant d'y mettre mon nez et...ma langue ╗, ajouta-t-il aprУs une seconde d'hжsitation. Peter apprenait tout Я coup des choses qu'il ne soupуonnait pas du tout et il s'apercevait que cela, au lieu de le choquer, l'excitait terriblement. Il bandait de plus en plus fort quand Eddy lui parlait.
Tout Я coup, sans que Peter eчt pu prжvenir le geste, Eddy se pencha et prit une bonne partie de la queue de son pУre dans sa bouche. La surprise, mais aussi la raretж de cette sensation qu'il n'avait pas жprouvжe depuis quelques annжes, empЖchУrent Peter de le repousser. Il se laissa sucer par son fils et allait de surprise en surprise en constatant que l'odeur de son prжpuce ne semblait pas le dжranger, mЖme au contraire.
Il s'abandonna davantage quand il dжcida de porter Я ses propres narines le slip qu'Eddy lui avait tendu et que son fils avait portж aussi toute la journжe. Il entrait dans le monde des `mille et une nuits' ne sachant pas encore que le cul de son fils жtait, comme je l'ai dit plus haut, un vжritable comptoir d'жpices du Caire. Peter appuya sa tЖte sur l'oreiller et se laissa aimer, le slip d'Eddy sur sa face. Il s'aperуut qu'Eddy changeait de position et se plaуait droit devant lui. Il sentit жgalement qu'il жcartait ses cuisses et se plaуait entre ses jambes. Il sentit enfin qu'il relevait ses jambes pour se mettre en position de prendre tout son sac de couilles dans la bouche. Il lui massait les couilles avec sa langue. C'жtait dжlicieux et Peter hurlait presque de plaisir. Il жtait si absorbж par ces sensations rarissimes qu'il ne protesta pas quand Eddy lui releva les jambes complУtement et alla braquer son nez et sa langue tout prУs de son cul d'abord, puis carrжment dessus et autour ensuite. Quand il sentit la langue sur son trou, il tressaillit enfin et fit le geste de le repousser. Ф Je ne suis pas propre Eddy! Je te l'ai dit tout Я l'heure ╗.
Ф Je m'en fous! Moi aussi je t'ai dit que j'adorais ton odeur et que je me compte chanceux que tu aies travaillж toute la journжe sans avoir eu le temps de prendre une douche. Si l'odeur est super, le goчt est incroyablement intoxiquant. Je passerais toute la nuit Я te lжcher. Je vais le laver avec ma langue. Le cul de Peter sentait effectivement trУs fort. Il dжgageait une fragrance musquжe et acide. Mais derriУre cette forte odeur de sueur, se profilait subtilement, comme en filigrane, une mince odeur plus rance inidentifiable. Gжnжralement, cette odeur suffit Я repousser la plupart des Ф dжgustateurs ╗, mais Eddy жtait plus qu'un amateur. C'жtait un grand connaisseur, du moins en imagination, et cette nuance ne l'arrЖtait pas, bien au contraire. Sa langue labourait le derriУre de son pУre. Il fouillait le plus au fond possible, comme un voleur scrutant le fond d'un tiroir- caisse. Peter gжmissait de plus en plus et de plus en plus fortement. Quand il sentit que son pУre жtait au bord de jouir, il mordit lжgУrement la lУvre de l'anus et tira sur les poils avec ses dents comme pour les arracher. C'жtait trop. Peter cria et lРcha de grandes giclжes de sperme partout sur lui et autour de lui. Eddy se releva et, Я genoux devant son pУre, l'жclaboussa de toute sa purжe blanche en pleine figure. Le pУre n'eut qu'Я ouvrir la bouche pour prendre sa Ф collation de nuit ╗.
AprУs quelques minutes de repos, c'est Eddy qui rompit le silence : Ф Cette nuit, je dors avec toi. Pas question que tu prennes une douche! Je veux passer la nuit avec l'odeur de tes pieds sous les draps et celle de ton cul sur ma bouche. Et si durant la nuit, il te prend l'envie de lжcher le mien, mon cul, ne te gЖne pas. Je n'ai pas travaillж toute la journжe et j'ai pris une douche ce matin, mais on m'a dжjЯ dit qu'il sentait bon comme un comptoir d'жpices ╗. Peter n'en revenait pas de l'audace de son fils. Il restait pantois. Il fit un lжger signe affirmatif de la tЖte tout en souriant et lui souhaita une bonne nuit. Il жteignit la lumiУre. AprУs quelques minutes d'un lourd silence, Peter se tourna vers Eddy et lui dit doucement Я l'oreille : Ф Merci! Il y avait longtemps que j'espжrais ce moment, mais je n'en aurais jamais pris l'initiative ╗. Et, aprУs une courte pause, il ajouta : Ф Si j'ai encore un peu faim cette nuit, j'irai peut-Жtre goчter Я tes Ф жpices ╗. Puis, il dжposa un baiser sur son front.
Les jours suivants furent occupжs par le travail et l'жcole. Les deux garуons continuУrent Я planifier leurs opжrations futures avec leur papa respectif tout au long des rжcrжations et des heures de lunch. Danny жtait жmerveillж de l'audace d'Eddy et de la rapiditж avec laquelle il avait obtenu un si bon rжsultat. Il fallait poursuivre dans la bonne direction.
Au cours des deux semaines qui suivirent les жvжnements du week-end de Columbus Day, les deux garуons expжrimentУrent quelques autres expжriences sexuelles avec leur papa respectif et s'en racontУrent les dжtails les plus croustillants dУs le lendemain Я la rжcrж.
C'est Eddy qui avait du temps Я rattraper et devait prжparer son pУre pour le sжjour dans les Catskills. Peter ne voulait pas qu'ils dorment ensemble toutes les nuits, malgrж l'insistance d'Eddy. Il lui expliqua que cela жtait le propre d'un couple gay. L'expжrience sexuelle qu'ils avaient partagжe et l'immense amour qu'ils avaient l'un pour l'autre ne justifiait pas ce degrж d'intimitж. Eddy semblait trУs dжуu. Peter, pour le consoler, dut lui promettre qu'Я l'occasion ils pourraient bien faire quelques jeux sexuels ensemble mais en ne perdant pas de vue que la nature leur avait assignж un rЗle qu'ils avaient dжjЯ trop largement dжpassж.
Stephen et Danny, de leur cЗtж, s'жtaient encore amusжs avec leur webcam. Dжcidжment, Stephen aimait savoir que son fils le regardait faire ses Ф petites intimitжs ╗ comme il se plaisait Я nommer ainsi ses sessions de masturbation. Stephen apprit ainsi davantage le plaisir que son pУre жprouvait Я se pisser dans la gueule, Я sniffer ses chaussettes et Я lжcher ses pieds en revenant du travail. Il n'avait pas les pieds trУs sales car il travaillait Я l'Universitж. Il portait souvent, par goчt personnel plutЗt que par habitude conservatrice, un costume et une cravate. Ses chaussettes жtaient donc souvent en soie et absorbaient merveilleusement la sueur des pieds produite par le cuir des souliers. Cela faisait une dжlicieuse concoction qui le faisait bander. En somme, la webcam servait Я initier Dan aux Ф pratiques ╗ de son pУre sans que des explications fussent nжcessaires. Une fois l'exemple donnж et le jeu dжmontrж, Danny n'avait plus qu'une seule envie, celle de partager ce plaisir singulier avec son pУre. DУs que Danny eut compris le fantasme que son pУre жprouvait Я sniffer ses propres chaussettes, il participa entiУrement Я son univers imaginaire en lui proposant de le dжchausser et de lui masser les pieds Я son retour du travail.
Il en profitait pour sniffer ses pieds et lжcher ses orteils, aussi entre ses orteils et la plante de ses pieds. Stephen жtait au paradis. Surtout que Dan avait le tour de nourrir les fantasmes de son pУre avec des images complжmentaires. Quand il dжchaussa son pУre, il prit soin de porter les baskets avec lesquels il avait passж sa journжe d'жcole et participж Я ses cours d'жducation physique. Il savait que ses pieds sentaient fort et que les chaussettes sportives avaient gardж la plus grosse part de leurs fortes odeurs. Quand Dan vit que son pУre avait sorti sa queue et se masturbait de plus en plus vite, il enleva ses baskets, laissa temporairement le traitement qu'il donnait Я son pУre et vint lui faire sentir ses propres pieds dans ses chaussettes sportives pleines de jus de pieds de jeune homme. Stephen avala les pieds de Danny comme un clochard gobant une tasse de soupe. Le pУre et le fils se branlУrent ensuite face Я face sur le canapж, chacun ayant les pieds de l'autre dans la figure, satisfaits et super excitжs par la fantaisie qu'ils venaient de partager.
De son cЗtж, Eddy voulait rжussir Я prendre son pУre en vidжo au milieu de ses activitжs sexuelles personnelles...ce n'жtait pas жvident d'y parvenir. Ce que Stephen ne savait pas, c'est que Danny avait enregistrж sur DVD sa sжance de branle avec la webcam quand Stephen croyait qu'il avait affaire Я un inconnu, le fameux SUN. Eddy avait aussi installж sa camжra vidжo dans la chambre de Dan le soir oщ les deux garуons avaient convaincus Stephen de les rejoindre pour s'amuser Я trois. La camжra et son contenu vidжo et une copie du DVD de la webcam жtaient dans les mains d'Eddy; c'жtait уa le contenu du petit paquet qu'il avait sous le bras en quittant la maison des Bloomfield le lendemain de la fameuse nuit. Pour arriver Я la ligne de dжpart de son copain Danny, Eddy devait rжussir Я prendre son propre pУre, Peter, sur vidжo. C'жtait le dжfi que s'жtaient lancж les deux garуons.
Le vendredi matin de la semaine suivante, Eddy annonуa Я son pУre Peter, avec un sourire qui en disait long sur ses intentions, qu'il souhaitait passer la soirжe Я la maison avec lui. Il arriva assez tЗt de l'жcole cet aprУs-midi lЯ et mit en place un dispositif ingжnieux pour parvenir Я faire sa vidжo. Il installa la camжra sur une tablette жlevжe de la bibliothУque et la rangea entre des livres de maniУre qu'elle fчt presque invisible Я moins de porter une trУs grande attention Я cette tablette.
Il fit quelques essais pour s'assurer qu'elle жtait bien centrжe en direction du canapж placж devant la bibliothУque qui couvrait tout le mur et servait aussi d'enclave pour la tжlж. Il avait cachж sous le canapж du cЗtж oщ il avait prжvu s'assoir, le contrЗle Я distance, mince comme un carton d'allumettes, et avait finalement vжrifiж le fonctionnement du zoom.
Quand son pУre arriva, il avait gentiment prжparж le repas. Il ne restait plus qu'Я le servir quand ils auraient faim. Si le pУre de Danny жtait professeur au NYCU (New York City University), le pУre d'Eddy travaillait pour une firme de courtiers en finance dont les bureaux жtaient situжs non loin de Wall Street, prжcisжment Broadway et Broad Street, au cюur des affaires Я Manhattan. Comme Stephen, le pУre de Danny, il travaillait en costume de ville. Quand il rentrait Я la maison et dжposait sa mallette, Eddy se sentait toujours sexuellement attirж par son pУre en costume. Il aurait voulu qu'il restРt ainsi vЖtu pour qu'il puisse lui baisser la fermeture-жclair de son pantalon, sortir sa belle queue de la braguette et le sucer jusqu'Я ce qu'il жjacule dans sa bouche. Eddy жtait bien dжcidж Я ce que ce fantasme se rжalise un jour.
Aussi, ce soir-lЯ, quand Peter entra, Eddy se prжcipita vers lui avant qu'il ne monte se changer et l'invita Я s'assoir sur le canapж. Intriguж par cette nouveautж dans le comportement de son fils, Peter obtempжra sans rжsistance aucune. Quand il fut assis, Eddy activa habilement et secrУtement la manette de la camжra-vidжo et se plaуa Я genoux entre les jambes de son pУre. Ф Qu'est-ce qui te prend aujourd'hui Eddy? ╗ lui lanуa son pУre. Ф Tu veux que j'augmente ton allocation hebdomadaire? ╗ lui dit-il avec un large sourire plein de bontж et de tendresse. Ф Non! rжpondit Eddy. Je veux simplement rжaliser un de mes fantasmes. Il m'arrive souvent de penser Я toi durant la journжe. Je t'imagine alors sortant de ton bureau pour aller aux toilettes parce que tu n'arrives pas Я te dжbarrasser d'une жrection. Tu t'enfermes dans un cabinet. Tu caresses lentement la braguette de ton pantalon_ et en disant cela, Eddy caressait la braguette du pantalon de Peter_ tu baisses lentement la fermeture-жclair de ton pantalon_ et il la baissait en continuant de parler_ avec ta belle main aux longs doigts fins et minces, tu fouilles dans l'ouverture jusqu'Я ton slip_ et il lui prit la main, en caressa justement les longs doigts, la porta dans l'ouverture de la braguette et la fit pжnжtrer Я l'intжrieur pour montrer Я son pУre ce qu'il attendait qu'il fЬt_ tu caresses doucement ta queue avec tes doigts et tu la fais sortir par l'ouverture du pantalon_ en disant cela, il tirait sur le poignet de son pУre pour que justement il sortЬt sa queue par la braguette_ tu la regardes avec passion et excitation_ Я ce stade de la mise en scУne, Peter ne pouvait plus rжsister et se laissait totalement absorbж et guidж par les paroles d'Eddy_ tu la serres confortablement dans ta main et tu te branles en pensant que peut-Жtre j'aimerais bien te voir faire ta branlette, que je suis peut-Жtre moi aussi aux toilettes de l'жcole en train de me branler en pensant Я toi_ Peter soufflait et soupirait trУs fortement_ tu arrЖtes une seconde ta branlette, tu regardes tes doigts fins qui ont eu le privilУge de toucher Я ta belle queue_ Peter se demandait oщ Eddy voulait en venir_ tu sens tes doigts qui ont pris l'odeur de ton gland_ Peter s'exжcuta sous le regard attentif d'Eddy en жtant de plus en plus excitж par cette extraordinaire mise en scУne de son fils qui semblait correspondre effectivement Я ce qu'il avait dжjЯ vжcu_ tu les lУches_ Peter lжcha ses doigts_ et tu reprends ta branlette plus vite et plus fort ╗.
Eddy avait le nez et la figure Я deux doigts, c'est le cas de le dire, du pжnis de son pУre et profitait de toutes les petites odeurs qu'il pouvait attraper quand ses mouvements crжaient un petit vent porteur. On ne pouvait plus alors arrЖter Peter. Il se branlait comme un malade devant la face rouge et le regard super excitж d'Eddy qui vivait enfin son fantasme. Eddy se recula un peu pour voir son pУre жjaculer haut et loin tant l'excitation жtait grande. Le foutre s'allongea sur la cravate qui жtait peut-Жtre foutue mais la branle жtait si extraordinaire qu'elle valait bien une cravate, mЖme de grand prix.
AprУs quelques minutes pour reprendre ses esprits, Peter regarda son fils avec un large sourire et dit : Ф Ouf! Je n'ai jamais joui aussi intensжment en me branlant. Qu'est-ce qui t'as pris? Sais-tu que tu es un Ф petit cochon ╗, mon garуon? ╗ Eddy riait. Ф Le plus incroyable, c'est qu'il m'arrive Я l'occasion de faire ce que tu viens de dжcrire. Comment tu as fait pour le savoir? ╗ Pour toute rжponse, il eut droit Я un sourire.
Ф Faudra maintenant que je m'occupes de toi ╗, ajouta Peter. Un tel scжnario mжrite une grande rжcompense ╗. Ф Pas maintenant rжpondit Eddy, on va se dжtendre, dЬner_ j'ai prжparж le repas_ et aprУs on passe la soirжe ensemble. Tu auras retrouvж ta Ф forme ╗ et je n'aurai rien perdu de la mienne, je te l'assure ╗. Mal Я l'aise tout de mЖme devant l'aplomb de son fils, Peter, inclina la tЖte en signe d'approbation. Il remit sa queue toute humide et dжgoulinante dans son slip et le tout dans le pantalon, remonta la fermeture-жclair et se leva pour aller se changer. Eddy activa la manette et arrЖta l'enregistrement de la camжra. Il avait rжalisж la premiУre partie de son document.
Le repas prжparж par Eddy, ce qui ne lui arrivait que trУs rarement et pas toujours avec succУs, жtait cette fois-ci des plus succulents. Peter n'en revenait pas. Il trouvait tout Я coup Я la maison ce qui lui avait tant manquж depuis la mort de sa femme : amour, tendresse, caresses, sexe et toutes sortes de menus plaisirs comme celui d'un bon petit plat par exemple. AprУs tant d'annжes d'efforts et de responsabilitжs, il goчtait Я la joie de se laisser bercer. Il se sentait coupable bien sчr, mais il n'avait pas le courage d'arrЖter brutalement ce qui venait Я peine de lui procurer tant de bonheur. Ф Il serait toujours temps ╗ finissait-il par se dire. Il ignorait les subtilitжs de l'amour humain et ses piУges profonds comme des abysses. Le bien-Жtre : voilЯ le mot magique qui nous fait perdre pied. Quand on se sent enveloppж comme dans un cocon moelleux par tout ce qui fait la beautж des jours et des nuits, la personne qui nous procure ce bien-Жtre a beau ne pas Жtre tout Я fait notre genre, ne pas devoir Жtre parfaitement la personne qui nous soit le mieux assortie, ne plaire Я aucun de nos amis et parents, nous enfoncer mЖme dans un isolement terrible et permanent, avec le temps, on ne peut plus la laisser. Il aurait suffi qu'Eddy soit constant dans ses attentions auprУs de son pУre, il aurait remplacж sa mУre.
AprУs le dЬner qui fut bien arrosж de vin blanc, car Eddy avait lu dans une revue que le vin rouge avait tendance Я alourdir le consommateur et Я diminuer son entrain sexuel, Eddy demanda Я son pУre s'il avait des films pornos gays? Bien sчr qu'il en avait. Et Eddy s'en doutait car il lui жtait dжjЯ arrivж d'entendre la vidжo de son pУre lors de leurs masturbations communes mais sжparжment dans leur chambre respective. Il avait cru reconnaЬtre des voix d'hommes et rarement des cris de femmes. Encore une fois, il se rendait compte qu'il lui suffisait d'affirmer quelque chose qu'il subodorait dans la vie de son pУre pour que, jusqu'Я prжsent, cela s'avУre vrai.
Il le supplia alors de mettre une de ces cassettes gays dans la vidжo du salon pour qu'il puisse la regarder ensemble. Rжchauffж par le vin et la scУne d'accueil de la fin de l'aprУs-midi de mЖme que par l'жrection d'Eddy, franchement visible dans son jeans et qui ne se rжsorbait pas depuis son arrivжe, Peter obtempжra non sans hжsitation. Il se doutait bien Я quoi conduirait cette projection regardжe en commun. Il souhaitait grandement ce qui allait arriver mais le craignait en mЖme temps.
AprУs s'Жtre laissж un peu supplier, moins par souci de montrer ses rжsistances que par l'extraordinaire excitation que lui apportaient les arguments et les supplications d'Eddy qui disait : Ф Allez! Dad! On va s'exciter sur des vidжos cochonnes. On va se branler ensemble, On va faire comme eux. On va se sucer le morceau. On va se lжcher le cul. Tu vas goчter Я mes Ф жpices ╗ et moi aux tiennes. Je vais mЖme te laisser mettre ta queue dans mon cul. Je voudrais que tu me fourres avec ta grosse bite. Regarde comme je suis dжjЯ super bandж! ╗ Et en disant cela, il dжboutonna son jeans, sortit sa queue toute bandжe et dжgoulinante de liquide prж-жjaculatoire. Il prit un peu de ce liquide sur ses doigts et vint le dжposer sur la lУvre de son pУre. Peter craqua. Il monta dans sa chambre et ouvrit le coffre cadenassж oщ il gardait ses prжcieuses Ф reliques ╗ et redescendit avec deux vidжos. La premiУre avait жtж tournжe Я New York mЖme, dans Alphabet City, oщ vivait toute une communautж de Portoricains. C'жtaient de beaux noirs portoricains qui se masturbaient seuls ou avec des copains. L'autre vidжo, c'жtaient de tout jeunes hommes avec des hommes plus mчrs, genre Eddy et son pУre Peter. Ф Mmmmmm! ╗ Ce furent les seules paroles d'Eddy en voyant la pochette de la derniУre vidжo. Mais il choisit tout de mЖme celle des Portoricains en disant Я Peter : Ф On va d'abord regarder celle-lЯ. Elle nous servira d'apжro ╗.
Ils s'installУrent sur le canapж, Eddy prenant bien soin de s'assoir du cЗtж oщ il avait cachж la manette de la camжra. On mit la vidжo en marche et, dans un silence religieux, les yeux des deux hommes rivжs sur l`жcran, ils se laissУrent porter par la vue de deux beaux mРles portoricains, mulРtres, Я trУs grosse queue, qui se branlaient ensemble, assis l'un Я cЗtж de l'autre, comme Eddy et Peter, en regardant eux-mЖmes une vidжo mais, dans leur cas, sur le canapж d'une piУce poussiжreuse d'un flat de Lower East Side.
La tension жtait forte dans le salon des Madison (c'жtait le nom de famille de Peter et Eddy). C'est toujours ainsi, qu'on soit seul ou avec quelqu'un d'autre, quand on active une vidжo porno et qu'on s'installe avec une envie folle de se masturber et qu'on sait qu'on va bientЗt s'y mettre, la tension monte, la respiration se fait plus forte, le cюur fait des boums, les oreilles bourdonnent, la queue durcit et on bande trУs dur.
Nos deux compУres vivaient ces instants ensorcelants et aucun n'osait en briser la fascinante tension. Eddy toutefois, forcжment plus entreprenant que Peter, se mit Я se caresser et Я regarder son pУre qui l'imitait. Il sortait la langue en direction de la bosse qui жtait maintenant жvidente dans le short de son pУre. Peter, les yeux exorbitжs, fixait celle apparaissant dans le jeans de son fils. Puis, tout en ne lРchant pas cette fois les yeux de son pУre, Eddy dжboutonna trУs lentement son jeans, le baissa jusque sur ses chevilles et se laissa glisser un peu sur le canapж de maniУre Я ce que sa belle queue gonflжe s'жtende parfaitement de toute sa splendeur dans son slip. Peter ouvrait la bouche lentement les yeux fixжs sur le slip. Eddy s'assura que son pУre ne dжtournait pas le regard de son slip et, dans un mouvement trУs rapide alla gratter sa cheville et en profita pour activer la manette de la camжra. Il reprit ensuite une position provocante sur le canapж. Il baissa ensuite lentement son slip avec les pouces dans les bordures et le rabattit sur son jeans Я ses chevilles. Il retira son t-shirt et s'exposa ainsi tout nu devant son pУre, la bouche maintenant grande ouverte en pРmoison.
Les yeux d'Eddy allУrent ensuite directement sur la bosse dans le short de son pУre. Ses yeux agissaient presque comme dжtonateurs. Peter ne pouvait plus diffжrer davantage son abandon. Il se leva, baissa son short et son slip et enleva son t-shirt. Il жtait flambant nu devant son fils. Il se rassit et les deux reprirent leur confort en se masturbant lentement, les chevilles encore engagжes dans les vЖtements descendus. Ils ne voyaient plus la vidжo. Ils жtaient fascinжs par leurs manipulations gжnitales. Ils surveillaient et apprжciaient les multiples nuances, souvent trУs subtiles, dans le tripotage de leur queue qu'ils avaient appris Я connaЬtre et Я servir depuis leur enfance. Qui se grattait parfois une couille, qui grattait sous sa poche. Qui se branlait avec deux doigts sur le bout de la queue, sous le gland, qui Я pleine main ou avec les deux mains Я la fois. Qui augmentait la vitesse et serrait fort sa queue. Qui ralentissait le mouvement pour ne pas jouir tout de suite. Qui prenait sa poche dans sa main et la serrait, la manipulait, la chatouillait, qui lжchait le liquide qui en sortait abondamment et qui s'en mettait sur les lУvres.
Qui caressait son cul en relevant ses jambes, et qui sentait son cul sur ses doigts. Qui se pinуait les tжtins. Qui caressait ses cuisses et son entrejambe. Mais les deux suaient, soufflaient, se regardaient attentivement, se scrutaient devrais-je dire, se mangeaient des yeux et tentaient de ne pas jouir trop vite...la soirжe жtant encore jeune.
Avant qu'il ne soit trop tard et que l'жjaculation ne vienne trop vite, Eddy s'arrЖta soudain et dit Я son pУre : Ф On devrait mettre l'autre film. Mais, faisons une petite pause si tu veux, deux minutes, j'ai un tжlжphone Я faire ╗. Il se leva mais laissa fonctionner la camжra.
Quand il revint au salon, son pУre жtait toujours sur le canapж. Il avait dжmarrж l'autre vidжo, mais il жtait Я quatre pattes sur les coussins. Il avait la figure dans le coussin oщ le cul d'Eddy s'жtait dжposж quelques minutes plus tЗt. Il tentait vraisemblablement de saisir l'odeur de son fils sur le coussin qu'il avait dжsertж au moment oщ il est allж tжlжphoner. Cette pause et ce geste parurent trУs excitants Я Eddy qui rebanda trУs vite et retomba dans la magie de la soirжe.
Ф Tu cherches la saveur de mes жpices? ╗ dit-il Я son pУre, gЖnж d'avoir жtж surpris mais surtout rouge de honte devant ce fantasme qu'il dжcouvrait devant la personne mЖme qui en жtait porteuse. Ф Excuse-moi, Eddy! C'жtait trop tentant! Je n'aurais pas dч... ╗ Mais Eddy l'interrompit pour le rassurer en disant : Ф Tu as vraiment bien fait car maintenant que j'ai dжcouvert ta fantaisie, je vais pouvoir t'offrir mieux que mes traces sur un coussin. ╗ Finissant ces mots, il se plaуa debout devant le canapж, se retourna pour montrer son derriУre Я son pУre, se pencha, жcarta ses fesses pour bien faire voir son trou et ajouta : Ф Bienvenu dans ma boutique, Daddy! Tout de toi est bienvenu : tes doigts, ta langue, ton nez et mЖme ta queue. ╗
Ces derniУres paroles consolУrent Peter immжdiatement qui cessa de regretter d'avoir жtж surpris par son fils Я sniffer son coussin puisque cette petite perversion lui ouvrait la porte de mille de ses dжsirs.
Il dжbuta son incursion dans le cul de son fils en le caressant avec ses doigts, doucement, lentement comme pour prendre conscience de l'immense chance qui lui жtait donnж et pour ne pas brчler la progression de son plaisir puisqu'il avait fallu des mois, voire quelques annжes, pour que ce dжsir se construise, s'intensifie, se prжcise et devienne parfois trУs obsessif. Il allait dжfaire le mur infranchissable жlevж au fil du temps entre son dжsir apparemment inaccessible et la rжalisation prжsente de ce dжsir, en procжdant жtape par жtape, pour tenter de jouir Я chaque жtape des fantasmes qu'ils avaient accumulжs avec le temps dans sa mжmoire.
Ses doigts parcouraient les plis et les ourlets de l'anneau anal. Il tentait d'imprжgner sa mжmoire de la texture, de la forme gжnжrale et particuliУre, de chaque dжtail susceptible de reprжsenter exclusivement le cul d'Eddy, de chaque nuance de ton dans le jeu des couleurs qui faisait de ce cul celui d'Eddy et de personne d'autre.
Puis, il avanуa son nez pour en parcourir les fragrances_ son fameux comptoir d'жpices_ qu'il rЖvait encore plus de visiter que celui du Caire depuis que son fils l'avait mis sur cette piste. C'жtait comme sur le coussin mais en plus profond, en plus rжel, comme un cinжma en trois dimensions. Les odeurs le firent trembler et frжmir tant elles жtaient riches, onctueuses, grasses et voluptueuses. Il n'aurait plus jamais cela. Quand il sentait son propre cul sur ses doigts parfois en se masturbant, il sentait sourdre en lui un Ф rush ╗ d'excitation mais jamais avec une telle intensitж. L'odeur intime d'Eddy жtait comme une sniffжe de poppers.
Puis, il avanуa sa langue avec un rituel semblable Я celui de l'eucharistie. Il voulait toucher Я ce trжsor comme Я un dieu. Il y goчta d'abord du bout de la langue pour en saisir les premiУres saveurs, celles qui reposaient le plus en surface. Puis, il creusa plus profondжment dжcouvrant Я chaque coup de langue une saveur nouvelle ou une nuance subtile qu'il n'avait pas trouvжe Я la lippжe prжcжdente. Il enfonуa finalement toute sa langue le plus profondжment possible et le liquide qui s'жtala sur ses papilles provoqua une rжaction acide qui le faisait pжnжtrer comme dans l'antre aux secrets d'Eddy aussi merveilleux que celui d'Alibaba. Il avait la sensation que dжsormais, il ne pourrait pas Жtre plus prУs de lui, mЖme en l'enculant. Le pжnжtrer avec sa queue serait conquжrir son espace interne, mais le pжnжtrer avec sa langue c'жtait envahir son cюur et presque sa mжmoire.
Il poursuivit un bon dix minutes cet extraordinaire plaisir qui semblait susciter le mЖme agrжment chez son fils, puis il lui demanda s'il pouvait l'enculer. Eddy rжpondit affirmativement mais, aprУs avoir mystжrieusement regardж sa montre, il demanda Я son pУre s'il ne pourrait pas lui, Eddy l'enculer en premier. Il lui promit qu'il pourrait faire de lui ensuite tout ce qu'il voulait. Peter ne put rжsister Я cette demande, mЖme s'il lui apparaissait logique, dans son processus de dжcouverte, qu'il le pжnжtrРt d'abord.
Presque Я regret, Peter se mit Я genoux sur le canapж, жcarta ses fesses et pria Eddy d'y aller doucement car il n'avait vraiment pas l'habitude de cette pratique. Seul son propre doigt жtait allж lЯ Я l'occasion et, une fois ou deux, des copains de collУge l'avaient visitж, mais pour le reste, il жtait vierge. Eddy le prжpara doucement et amoureusement avec sa langue. Il lubrifia ensuite abondamment sa queue et le cul de Peter et entreprit lentement de le pжnжtrer. AprУs quelques minutes difficiles Я cause surtout de la grosseur de la queue d'Eddy, il finit par y pendre plaisir, puis devint envahi de plaisir, puis se sentit comme emportж au paradis et un univers s'ouvra soudain devant lui comme s'il venait de dжcoller vers l'espace. Il criait. Il жmettait toutes sortes de sons nouveaux qu'il ne savait pas que sa voix puisse produire.
Il жtait si intensжment concentrж sur ses sensations qu'il n'entendit pas s'ouvrir la porte principale de la maison, ni les bruits de pas vers le salon. Il ne remarqua pas davantage qu'une ombre nouvelle s'ajoutait dans le paysage du salon. Il prit lentement conscience d'une situation bizarre. Alors que les deux mains d'Eddy reposaient sur ses hanches pendant qu'il se faisait pжnжtrer, il sentit une autre main venir attraper son pжnis pour le masturber. Il se retourna lentement pour voir comment Eddy pouvait rжussir une telle manюuvre et il faillit claquer d'une syncope. Droit Я cЗtж de lui, complУtement nu, le bras tendu tenant encore son pжnis, se tenait Danny, le grand copain de son fils.
AprУs une ou deux horribles secondes, Peter prit conscience que ce n'жtait pas un rЖve. Danny жtait bel et bien lЯ, tout nu. Cette vision l'arrachait douloureusement Я son plaisir. Il ne voulait plus qu'une seule chose : qu'Eddy sorte de son trou. Ce dernier augmenta son emprise physique sur son pУre, le temps de trouver quelque chose Я dire pour expliquer tout уa. C'est Danny qui parla en premier. Ф Calmez-vous, monsieur Madison, c'est juste moi. Eddy m'a racontж qu'il ait fait des choses avec vous. J'ai voulu en avoir la preuve surtout que je vous ai toujours trouvж trУs sжduisant. C'est un honneur pour moi de faire quelque chose de sexuel avec vous. J'ai dжjЯ fait bien des choses avec Eddy; mais avec vous ce n'est pas pareil. C'est encore plus excitant ╗. Il ajouta cette derniУre allusion en faisant un clin d'юil Я Eddy.
Eddy continuait de pжnжtrer son pУre mais les mouvements жtaient plus lents. Enfin, c'est Eddy qui se pencha sur le dos de son pУre pour lui parler dans l'oreille. Ф Dad ! Il ne faut pas le prendre mal. Danny et moi, on est conscient tous les deux que ta vie n'a pas toujours жtж jojo. On s'est dit qu'on pourrait peut-Жtre te faire vivre quelque chose de trУs excitant. └ trois, c'est encore plus chouette qu'Я deux, n'est-ce pas? Ne pense plus Я rien et laisse- toi aimer, mon daddy d'amour! ╗
Danny s'approcha de nouveau et caressa le dos de Peter. Ф Vous Жtes super beau, monsieur Madison. Il n'y a pas une partie de votre corps qui ne me fait pas `tripper' ! Si je vous plais un peu, vous pouvez me sucer si vous voulez. J'en rЖve ╗.
Peter жtait comme dans un cauchemar incomprжhensible. Ses tempes battaient la chamade. D'une part, il se sentait trahi par son fils. C'жtait donc уa le tжlжphone si urgent! Il avait tant rЖvж d'une soirжe intime avec Eddy. Et voilЯ que cela se transformait en partouze et juste au moment oщ il se laissait pжnжtrer, juste au moment oщ il s'abandonnait. Ces pensжes lui faisaient perdre son жrection.
Mais, en mЖme temps, les paroles de Danny et d'Eddy жtaient si douces et si gжnжreuses qu'elles lui faisaient revivre les beaux moments de sa premiУre jeunesse quand les filles lui faisaient tant de compliments Я l'жcole et quand il remarquait comment plusieurs garуons le regardaient et avaient envie de lui.
Sa tЖte faisait boum de partout, mais peu Я peu la surprise s'amenuisait et la queue d'Eddy qui n'avait toujours pas quittж son cul lui rappela qu'avant l'arrivжe de Danny c'жtait super bon. Il ne voyait plus pourquoi уa ne pourrait pas Жtre bon encore un peu plus longtemps. Enfin, il jugea que cela pourrait encore Жtre meilleur et, trУs lentement, il approcha sa bouche de la belle queue tendue de Danny et l'engouffra dans sa gorge.
Ils baisУrent Я trois durant une bonne demi-heure. Danny offrit son cul Я Peter aprУs la jouissance d'Eddy. Il lui dit clairement de le prendre fort car il mжritait une punition pour s'Жtre introduit chez lui sans sa permission. Ce genre de jeu de rЗle ne dжplaisait pas Я Peter. Кa faisait longtemps qu'il n'avait pas baisж. Ce fut une grande joie de pжnжtrer la belle cave Я vins de Danny. Il s'en donna Я cюur joie en entendant le jeune souffler Я toute vapeur en lui criant : Ф Encore! Plus fort encore monsieur Madison! ╗. Ce Ф Monsieur Madison ╗ rendait la situation encore plus cochonne. Il se sentait un vieux satyre, bien qu'il n'eчt que dans la trentaine avancж. Entendre жgalement son fils Eddy lui dire toutes sortes de paroles cochonnes pendant qu'il pжnжtrait son meilleur ami, cela aussi ajoutait du piquant Я la sauce, si je puis dire.
Ф Allez, papa, fourre-le! Danny est une belle salope. Dжfonce-lui le trognon! Fais-lui sortir ta queue par la gorge ╗. Jamais Peter n'eut cru possible de participer Я pareille orgie tant en paroles qu'en acte. Et pendant que Peter fourrait Danny, Eddy avait rebandж et enfonуait sa queue dans la gueule de Danny. Ф Mange-moi Danny, disait-il, уa va amuser papa pendant qu'il te fourre. ╗
Rendu fжbrile par toutes les жmotions de la soirжe, Peter ne pouvait pas se retenir trУs longtemps. L'odeur des deux garуons qui suaient Я cЗtж de lui et dont chaque mouvement transportait des effluves de queue, de cul, de poche qui a eu chaud et de sperme sжchж, tout cela le fit jouir avec жclat. Il sorti juste Я temps du cul de Danny et жjacula sur son dos. En mЖme temps, Eddy se vidait dans la bouche de son copain.
Danny s'effondra sur le divan, жcarta les jambes et prit sa queue dans sa main en disant : Ф └ mon tour maintenant, j'ai bien mжritж mon tour, non? ╗ Les trois ont ri.
Peter et Eddy vinrent s'assoir Я cЗtж de lui et pendant qu'Eddy l'embrassait Я pleine bouche et lui caressait les seins, Peter le suуait et le masturbait. Il ne fut pas long Я jouir. Eddy se pencha alors, glissa sa main sous le canapж, attrapa la manette de la camжra et appuya sur le bouton pour arrЖter la machine. Il avait rжussi la deuxiУme жtape prжvue dans leur plan et Я peine en une dizaine de jours.
...
Lorsque Stephen eut terminж le rжcit de la Ф grande sжduction ╗ de Peter par Eddy, il se retrouva profondжment жmu. Quand j'ai voulu qu'il s'exprime sur l'жmotion que semblait lui susciter son rжcit, ses lУvres devinrent fжbriles et il se retrouva au bord des larmes.
Il me demanda un autre rendez-vous en prжcisant qu'il prжfжrait attendre m'avoir tout racontж avant de parler de ses sentiments. Ce serait plus facile pour moi, dit-il, de mesurer Я leur juste proportion les pensжes contradictoires qui l'envahissaient.
Je lui ai donc donnж rendez-vous pour le samedi aprУs-midi suivant; je ne voulais pas attendre toute une semaine avant d'entendre la suite.
└ suivre...Big Apple 5; Prochain жpisode : Halloween aux Catskills
ALEXANDRE