Big Apple

By Adelard Dore

Published on Jun 19, 2014

Gay

Big Apple 13

Note: Nifty nous offre l'occasion de vivre de belles жmotions grРce Я toutes les histoires qui y sont racontжes. Une contribution serait donc apprжciжe pour permettre Я Nifty de poursuivre cette merveilleuse aventure. Envoyer un don Я :

http://donate.nifty.org/donate.html

Les rougeurs de Rudy

Le samedi suivant, je me suis prжsentж Я son appartement de Greenwich vers 14 heures comme convenu. Francis жtait lЯ mais il nous assura de la plus stricte intimitж en nous disant qu'il serait enfermж dans le bureau tout l'aprУs-midi. On me servit encore une fois du thж et la nouvelle histoire commenуa.

...

Peu de temps aprУs la visite de William, un jeune garуon de 14 ans se prжsenta au cabinet du docteur Svihovic. Il s'appelait Rudy X. Sa mУre lui avait demandж de consulter parce qu'il avait une curieuse rougeur Я l'aine rжpartie de chaque cЗtж. Le garуon жtait trУs mignon. Il жtait plutЗt petit, mais solide et bien fait. Il avait le corps du parfait жphУbe : muscles bien dжcoupжs mais entiУrement ramassжs et serrжs sous une peau tendue et fine comme de la soie. Il жtait glabre sauf, ce qui est naturel, au pubis et un peu aux aisselles. Un trУs fin duvet жtait en train de s'installer cependant sur le ventre et formait une belle ligne dжlicate allant du nombril au pubis, ce qu'Andrew serait Я mЖme de constater un peu plus tard. Il avait les cheveux bruns clairs et les yeux bleus, des lУvres trУs sensuelles, une bouche invitante et des joues qui avaient plus de lien avec celles d'un enfant qu'avec celles d'un homme : roses, glabres et lisses, douces et lжgУrement ponctuжes par quelques points noirs rжsistants et quelques rares marques incontournables d'acnж, irrжmжdiable drame de tous les adolescents.

Lorsqu'il entra dans le cabinet, le beau docteur fut жclaboussж par la beautж Я la fois timide (celle d'un enfant), farouche (celle de l'homme en puissance) et frondeuse (celle d'un jeune homme) qui se dжgageait de toute la personne de son jeune patient. Mais, la circonstance_ venir consulter un mжdecin (position en partant de faiblesse) _ et pour des rougeurs Я un endroit qu'on ne veut pas montrer Я quiconque Я cet Рge lЯ, attжnuait son air loubard au profit d'une indiscutable fжbrilitж et d'une craintive humilitж. L'intuition machiavжlique d'Andrew pour ce type de Фfaiblesse╗ rжveilla instantanжment la vision du plaisir intense qu'il pouvait en tirer. Encore une fois : Ф La faim, l'occasion, l'HERBE TENDRE et quelque dжmon sans doute le poussant╗, il s'apprЖta Я rompre de ce PR╔ la largeur de sa LANGUE...ou de sa queue!

AprУs avoir regardж le garуon avec insistance pour le rendre mal Я l'aise et induire, dУs les premiУres secondes, une sorte de courant жlectrique sexuel entre eux, Andrew lui demanda le but de sa visite. Il commenуa par se montrer brave disant que cette consultation жtait l'idжe de sa mУre et non la sienne. Lui ne voyait rien de grave Я tout cela. Mais, bon, sa mУre semblait tant y tenir...Alors, pour lui faire plaisir...Mais, si le docteur жtait occupж Я des choses plus sжrieuses que quelques rougeurs, il pouvait bien repartir tout de suite. Il dirait Я sa mУre qu'il n'y avait rien de grave. Il aurait tenu sa promesse sans dжranger le toubib.

C'жtait exactement le genre de commentaire qu'Andrew n'aurait pu rЖver entendre. Il жtait du plus pur style ado. Un air de sчretж, presque d'arrogance enveloppant une voix inquiУte qui elle-mЖme cachait une sorte de dжtresse, de peur aussi et une immense gЖne. Les portes du paradis s'ouvraient encore une fois pour Andrew. Ce que Rudy ne savait pas encore, c'est que les portes de l'enfer allaient se refermer maintenant derriУre lui et que la phrase qu'il avait choisie pour se sauver de cette encombrante situation жtait prжcisжment celle qui le perdrait.

ФRaconte-moi ce qui t'arrive, jeune homme, j'ai tout mon temps. On fera attendre les autres si nжcessaire╗. Et voilЯ! Vlan! Les portes de l'enfer claquaient au visage de Rudy qui avait essayж une manюuvre pour se retourner et se sauver. Le sourire frondeur de Rudy s'жteignit d'un seul coup. Andrew sonda, Я cet instant prжcis, la profondeur du puits qui s'ouvrait dans l'Рme de Rudy et jaugeait l'immense plaisir qu'il prendrait Я le combler par ses fantaisies.

Quand Rudy, essayant encore, dans un dernier sursaut d'autodжfense, de minimiser les rougeurs d'entre ses cuisses en les dжcrivant sur le ton le plus nonchalant possible, la voix maЬtresse d'Andrew retentit dans tout le cabinet : ФDжshabille-toi tout nu, mon garуon, il faut que je vois cela de prУs!╗ Rudy resta pжtrifiж, incapable du moindre mouvement. Jamais, avec des adultes, Andrew n'utilisait l'expression : tout nu. Elle жtait trop sexuellement suggestive. Il se contentait de dire : Ф Dжshabillez-vous, que je vous examine╗. Mais avec Rudy, beaucoup plus jeune et moins averti du langage habituel des mжdecins et terriblement bouleversж Я la seule idжe de devoir se dжvЖtir devant quelqu'un, le Фtout nu╗ prenait des proportions жnormes et ranimait une imagerie proche de l'жpouvante. Il se voyait dans un bois, attaquж par une bande de voyous, attachж tout nu Я un poteau ou forcж de se masturber devant eux qui se moquaient de lui en retour. Dans ses rЖves les plus terribles, devoir se mettre tout nu devant quelqu'un Я sa simple demande, relevait de la plus basse humiliation, cette personne fut-elle un grand docteur. Rassemblant ses oripeaux de courage, Rudy finit par dire : Ф Je crois que ce ne sera pas nжcessaire. Ce sont de toutes petites rougeurs. Un bon onguent suffira sчrement. Je ne veux pas vous dжranger╗

ФTrop tard, mon garуon, rжpondit Andrew, utilisant lui aussi le langage de l'imaginaire de Rudy, tu en as trop dit. Je ne donne pas d'onguent sans vжrifier tout cela. On ne sait pas ce que cachent ces rougeurs. Et puis, tu as sчrement besoin d'un bon examen mжdical. Et il rжpжta encore plus lentement comme pour tourner le fer dans la plaie, allez! Il faut te mettre tout nu et tout de suite.╗ Puis il ajouta, en riant, comme pour rendre toute fuite impossible et augmenter la tension sexuelle, autant chez le jeune que chez lui-mЖme: Ф N'attends pas que je te dжshabille moi-mЖme! Ce sera encore plus gЖnant quand je vais arracher ton slip.╗ Rudy faillit passer l'arme Я gauche. Son cюur descendit dans ses talons Я la seule idжe que le docteur puisse lui arracher son slip et dжcouvrir ainsi ses organes gжnitaux. Кa bourdonnait dans ses oreilles comme quand il se rжveillait aprУs un de ses fameux rЖves quand un gang l'attaquait dans les bois. Il se rendit dans un coin de la piУce, puis dans l'autre, comme un chat qui veut sortir d'un lieu oщ il se sent prisonnier, cherchant un endroit sчr et Я l'abri des regards pour se dжvЖtir ...et bien dжcidж Я ne retirer que son pantalon et son t-shirt.

Afin de mжnager ses munitions et pour жviter que Rudy ne se sauve, Andrew le laissa faire sans insister. Ayant gardж son slip et ses chaussette, Rudy suivit le doigt d'Andrew qui lui indiquait de s'assoir sur la table d'examen. Il examina ses yeux, ses oreilles, sa gorge, ses rжflexes, ses ganglions du cou et de la gorge, puis le fit s'жtendre. TrУs lentement, avec rжsistance, Rudy obжit. Andrew se plaуa au pied de la table et retira ses chaussettes. Le garуon contractait ses orteils pour жviter d'Жtre dжchaussж. ФMes pieds sont sales, dit-il. Ils puent╗ ФC'est pas grave! J'en ai dжjЯ senti d'autres avant les tiens et il y en aura d'autres aprУs les tiens╗ rжpondit Andrew qui forуait les rжsistances du garуon. Il examina trУs lentement ses pieds et manipula ses orteils en se rжgalant de cette odeur de pieds d'ado si caractжristique, si forte mais, en mЖme temps, si excitante et si riche de sensations sexuelles. Capiteuse mais sucrжe.

L'examen des pieds terminж, Andrew regarda Rudy droit dans les yeux. Le jeune homme chercha Я жviter son regard aprУs une ou deux secondes d'une intense confrontation comme si le fait de regarder au loin lui permettait d'atteindre, du moins dans son esprit, cet au loin oщ il dжsirait tant se retrouver Я l'instant mЖme. Andrew s'approcha sur le cЗtж de la table. Il examina le ventre du jeune homme, puis enfonуant les doigts dans l'жlastique de la ceinture du slip, amorуa la descente de ce dernier. Rudy se raidit et retint son slip avec sa main. ФIl faut que tu enlУves уa, lui dit Andrew. Je dois examiner ces rougeurs; c'est peut-Жtre dangereux.╗

L'жvocation d'un danger sжrieux rжussit Я ramollir la ferme intention du jeune homme de rжsister Я l'assaut de son slip. Andrew prit conscience que la partie n'жtait pas gagnжe et qu'il avait affaire Я un vrai rжsistant. La victoire n'en serait que meilleure, se persuada-t-il. Mais il lui faudra utiliser de grands moyens. DУs que Rudy fut complУtement nu, la queue Я demi bandжe par la nouveautж de la situation, Andrew ne perdit pas de temps. Rapidement, il se saisit des bras du garуon et les fixa dans des sangles. Rudy n'eut ni le temps ni la rapiditж d'esprit pour comprendre Я quoi servait cette immobilisation de ses bras. Puis, il plaуa ses jambes dans les жtriers qu'il remonta de maniУre Я se retrouver confortablement entre les jambes de Rudy, son cul dans la face. LЯ Rudy comprit ce qui lui arrivait. C'жtait comme dans ses horribles rЖves dans les bois. Il жtait attachж et sexuellement l'objet d'un pervers. Il жtait rouge avec des reflets mauves tellement il avait peur. Ф Je ne te ferai pas mal, Rudy, lui dit Andrew. Je veux seulement Жtre Я l'aise pour t'examiner et faire mon travail. ╗ De quel travail s'agissait-il donc?

Ces paroles n'avaient pas pour but de calmer la gЖne de Rudy, mais simplement de justifier la Фviolence╗ du mжdecin. Pour la gЖne, il avait bien l'intention de lui en faire voir de toutes les couleurs. Sa jolie figure prendrait encore bien d'autres couleurs.

Il mit des gants et tassa le scrotum pour examiner les rougeurs. Comme on peut maintenant l'imaginer, il prit beaucoup de temps Я regarder, pour ne pas dire Я contempler, tout уa. Il gratta un peu avec un lжger instrument et dжposa la poussiУre rжcoltжe sur des lamelles de laboratoire. Mais, il fit cela par souci d'exactitude car il avait bonne raison de croire que Rudy n'avait qu'une irritation bжnigne due probablement Я une allergie Я un dжtersif ou autre chose. Il y avait bien quelques possibilitжs de causes. Rassurж de la non gravitж de la rougeur, Andrew dжcida de questionner Rudy jusqu'Я l'жpuisement de sa victime.

ФJe ne crois pas que ce soit sжrieux. Je suis mЖme certain que c'est tout Я fait bжnin, mais il faut trouver d'oщ уa vient. Je vais te poser des questions et il faut me rжpondre trУs sincУrement.╗ Et commencУrent les litanies de questions toutes plus indiscrУtes et personnelles les unes que les autres. Ф Est-ce que tu couches tout nu? Changes-tu les draps souvent? Ta mУre utilise-t-elle toujours le mЖme savon ou a-t-elle changж de sorte derniУrement? Est-ce que tu te laves tous les jours? Laves-tu ton sexe avec tes mains ou avec un linge? Est-ce que tu te branles (avec un adulte il aurait dit : masturbes) avec du savon? Est-ce que tu utilises du lubrifiant quand tu te branles? Quelle sorte? Est-ce que tu aimes уa quand уa glisse bien ou quand уa rжsiste un peu? Est-ce que tu te branles Я tous les jours? Combien de fois par jour? └ quelles occasions? Au rжveil? Au coucher? En allant aux toilettes? Sous la douche? Est-ce que tu serres fort ton pжnis? Et pour avoir une idжe de la rжsistance de la main, Andrew empoigna le pжnis dжjЯ complУtement bandж de Rudy et le branla en serrant plus ou moins fort, forуant le garуon, dжjЯ au bord de la syncope, Я lui rжvжler lequel des serrements pratiquжs sur sa queue жtait le plus proche de celui qu'il apprжciait.

Rudy avait presque perdu la voix. Il жtait mort de honte. Sa belle queue, qui lui donnait tant de plaisir, son instrument secret de ravissement, жtait exposжe aux regards d'un жtranger et Я ses doux plaisirs, lequel жtranger semblait prendre le sien, son plaisir, Я fouiller dans ses secrets.

Voyant que Rudy ne rжpondait que par des signes de tЖte signifiant oui ou non, ou ne rжpondait pas du tout, presque жtouffж devant l'ampleur de la confidence que reprжsentaient certaines de ces questions, Andrew augmenta encore l'intensitж du questionnaire de maniУre Я faire ressentir Я sa victime que les questions prжcжdentes жtaient, somme toute, banales Я cЗtж de celles qui allaient maintenant venir.

Andrew insista auprУs de Rudy Я savoir laquelle des manipulations que le docteur faisait Я son pжnis жtaient la plus proche de celle qu'il pratiquait lui-mЖme quand il se retrouvait tout seul et il lui demanda жgalement de lui dжcrire, ce qui l'obligeait Я parler autrement que par des signes, la position de la main qu'il prжfжrait. Rudy restait silencieux et catatonique. Andrew dut faire pression. Si tu ne me rжponds pas, Rudy, cela sera seulement encore plus long, parce que j'ai besoin de savoir. Pour se dжbarrasser, et Andrew le voyait bien, Rudy finit par dire : Ф la derniУre, celle oщ le poignet est inversж. ╗

Pour te rжcompenser d'avoir enfin dit un mot, je vais te branler un peu de ta maniУre prжfжrжe. Ainsi tu n'auras pas fait cette confidence pour rien. Et Andrew de s'exжcuter devant la bouche grande ouverte de Rudy qui vivait cette sensation pour la premiУre fois. Jamais personne d'autre que lui-mЖme n'avait touchж Я sa queue. Andrew aussi жtait persuadж de la virginitж d'une autre main que la sienne sur le pжnis de Rudy et cela aussi augmentait son plaisir.

Dans la tЖte et dans le cюur de Rudy, depuis qu'Andrew le masturbait lentement, les idжes, les images et les sensations se bousculaient. Il se rendait compte que ce qu'il croyait Жtre affreux comme supplice, et qui l'жtait en rжalitж, apportait aussi, par moments, une extraordinaire sensation de plaisir. Cela pouvait Жtre fort agrжable. Il arrivait mЖme Я penser qu'elle serait encore plus agrжable, s'il n'y avait pas toutes ces questions et si ce docteur жtait lui aussi tout nu.

Andrew lut qu'il se passait quelque chose dans la tЖte de Rudy. ФIl faut absolument que tu me dises Я quoi tu penses Rudy en ce moment mЖme.╗ Ф└ rien!╗ ФOh! Si! tu penses Я quelque chose. Tu penses Я tout ce que tu pourrais faire si je n'жtais pas lЯ, si tu жtais dжtachж, comme te branler par exemple, et peut-Жtre mЖme Я ce que tu pourrais me faire si j'жtais, moi aussi, tout nu comme toi. ╗ Ce docteur parlait au diable. Il avait devinж ses pensжes ou plutЗt quelques images venues spontanжment et trop rapidement d'un coin obscur de son cerveau.

Andrew ne croyait presque pas tomber si juste. Il avait pris une chance. On verrait bien et on s'ajusterait suite Я la rжponse de Rudy. Ce dernier complУtement mжdusж par le fait qu'Andrew avait lu dans ses pensжes, finit par dire : ФCe n'est pas juste. Vous fouillez dans ma vie intime, vous cherchez Я connaЬtre tous mes secrets, vous jouez avec ma queue, vous voulez savoir de quelle maniУre je me branle et vous Жtes tout habillж et je ne sais rien de vous et ne vois rien d'autre que votre figure sur ma queue. Ce n'est vraiment pas juste!╗ Des larmes commenуaient Я couler lentement sur ses joues.

Il fallait qu'Andrew rжagisse et vite. Ф╔coute! On va faire un marchж, si tu veux. Je vais complжter mon examen, tu vas collaborer davantage et rжpondre sincУrement Я mes questions et je te laisserai regarder et toucher Я ma queue avant que tu partes. D'accord? Est-ce plus juste? Mais Я la condition que tu me jures de ne jamais parler de cela Я personne. Je n'ai jamais fait cela avec aucun patient. Tu m'as l'air d'un bon garуon. Je veux vraiment t'aider avec ta santж. Mais je comprends que tu n'as peut-Жtre pas eu l'occasion de toucher Я d'autres garуons dans ta jeune vie, ni sans doute Я des filles. Alors? Marchж conclu?╗ Andrew exulta quand il vit un large sourire apparaЬtre derriУre les larmes de Rudy. ФVous allez vraiment me laisser voir et toucher votre zizi?╗ ФOui!╗ ФO.K. Alors, je peux me sentir mieux.╗

C'жtait le septiУme ciel pour Andrew...et une fin possible de l'enfer pour Rudy. Il entrait au purgatoire.

Cette concession qu'il faisait Я Rudy, Andrew se promettait bien de la lui faire payer chУrement. Il n'allait pas lui permettre de voir sa queue sans qu'il ne le mжrite par une nouvelle poussжe d'adrжnaline consжquente d'un intense sentiment de gЖne et de honte. Malgrж quelques bonnes intentions temporaires, Andrew n'жtait pas capable de mettre un terme Я sa terrible manie, que dis-je, Я sa passion, dУs qu'il y succombait.

Ф J'ai encore quelques questions pour toi, mon Rudy_ il le plaуait dжjЯ sur la liste des familiers, de ceux qui жtaient autorisжs Я voir sa queue_ quand tu te masturbes, est-ce qu'il t'arrive de mettre un doigt ou deux ou mЖme trois dans ton cul?╗ S'il ne touchait pas une cible, il allait au moins jouir de lui en avoir fait dжcouvrir quelques unes. Ф NON!╗ Rжpondit Rudy, presque honteux d'avoir seulement жcoutж la question et pu penser qu'elle fut sжrieuse. ФEt pourtant, cela est une grande source de plaisir. Comme je dois absolument examiner ton anus au cas oщ il y aurait des traces de rougeurs Я l'intжrieur, je vais en profiter pour te montrer comment on fait. Beaucoup d'hommes le font car c'est un grand plaisir.╗ Une peur terrible envahit Rudy Я l'idжe qu'Andrew puisse visiter son cul. Il жtait sчr de ressentir une terrible douleur. En mЖme temps, il lui жtait presque reconnaissant parce qu'il lui apprendrait des choses qu'il croyait na№vement qu'il lui aurait fallu des annжes Я dжcouvrir par lui-mЖme.

Quand Andrew approcha du beau petit cul tout rose de Rudy, il prit conscience de son exceptionnelle excitation par la force de ses pulsations cardiaques. Il se sentait comme un plongeur olympique au bord du tremplin qui fera la diffжrence entre l'or ou rien. Il dжcida que ce serait l'or, arrive ce qui doit arriver. Il ne put s'empЖcher de mettre son nez sur ce joli petit bouton de rose d'ado qui, comme ceux de tous les ados, est un dжlicieux compromis entre le lait un peu vieilli et l'arЗme Я la fois vert et acide d'un Beaujolais nouveau. Il prit de grandes respirations.

Inutile de dire que Rudy en fut estomaquж. Le docteur sniffait son cul. C'жtait impossible! Il rЖvait. Andrew s'aperуut du danger et inventa une astuce. Tu sais Rudy, il y a des maladies qu'on peut diagnostiquer uniquement Я l'odeur soit de la peau du patient, soit de ses selles, soit, comme je tentais de le faire maintenant, de son anus. Le jeune parut un peu rassurж mais dжgoчtж Я la seule idжe qu'il puisse Жtre mжdecin, un jour. Il fit part de cela Я Andrew qui n'osa pas lui dire que ce qui semblait le repousser maintenant_ on verrait pour plus tard_ жtait prжcisжment ce qui l'avait poussж lui-mЖme vers cette profession. Apaisж un peu par la rжplique de Rudy, Andrew ne se priva plus du plaisir de prendre plusieurs sniffжes et il osa mЖme un rapide coup de langue qui fit sursauter Rudy. ФQue faites-vous lЯ?╗ cria-t-il. ФOh! Rien du tout. C'est mon doigt qui est un peu humide.╗ Il profita de ce moment d'incertitude pour enfoncer son doigt dans le trжsor rose qui sentait si bon. Rudy жmettait de longs gжmissements de plaisir car Andrew faisait l'impossible pour ne pas lui faire mal. Il voulait que cette dжcouverte soit trУs agrжable Я Rudy. Si on peut dire qu'il restait encore de l'honneur Я Andrew, ce dernier geste жtait justement tout au sien. En effet, Rudy semblait avoir presque oublier ses premiУres peurs et prenait un rжel plaisir aux sensations qui venaient de son cul et des gestes du doigt qui avait perdu tout de leur allure mжdical pour s'Жtre mutж en gestes жrotiques, que dis-je pour s'Жtre travestis en dжlicieuses fжes faisant rжsonner tout son intжrieur comme les grandes orgues des жglises.

Rudy, entretemps, жtait devenu tout transi et ne voulait plus qu'une seule chose, jouir le plus vite possible. Son жrection commenуait Я lui faire mal et il crut bon le dire au docteur. ФBien! Rжpondit Andrew. Mais je veux d'abord te faire sentir mes doigts, celui surtout qui a glissж souvent sur ton cul. Il faut que tu essaies cela, je suis sчr que tu vas aimer et comprendre ce que je veux dire quand je te dis qu'on peut y percevoir bien de choses.╗ ФOh non! Je ne veux pas sentir cela,╗ dit Rudy. ФDommage! Ajouta Andrew, tu aurais pu ensuite comparer plus tard ton odeur avec la mienne. Tu ne sauras jamais alors.╗ Traquж par ce commentaire, Rudy resta tout Я fait silencieux. Lentement, il prit conscience que le docteur semblait prЖt aussi Я lui montrer жgalement son cul et Я lui permettre d'y mettre son nez, s'il жtait collaborateur.

Il se ravisa et dit : ФD'accord, mais juste un petit coup...ou deux! ╗ Andrew approcha ses doigts du nez de Rudy qui en prit quelques sniffжes...on dжpassa en tout cas le nombre de deux.

Avant de dжtacher Rudy, Andrew lui dit qu'il avait Я peu prУs terminж son examen et que l'heure жtait venue de remplir sa promesse, si Rudy y tenait toujours bien sчr! Il voulait que le jeune confirme son dжsir pour le forcer, malgrж sa honte et sa timiditж, Я demander du sexe. ФMais vous m'avez promis!╗ dit-il avec l'air suppliant et dжуu du jeune Я qui on refuse un cadeau promis sans fournir de raisons.

ФOh, mais si tu insistes et me le demandes expressжment, je vais tenir ma promesse. ╗ Terriblement gЖnж de demander cela, Rudy ne faisait que rжpжter : ФMais vous m'avez promis!╗ ФBien sчr, Rudy et je vais tenir parole mais il faut que tu le demandes clairement. ╗

ФMais je le demande clairement ╗, dit-il presque les larmes aux yeux encore une fois comme un enfant flouж. ФNon! Pas clairement, justement. Je vais te dire ce qu'il faut dire. Il faut dire : `Docteur Svihovic, j'ai bien aimж mon examen mЖme si j'жtais trУs gЖnж. Je suis toujours trУs gЖnж d'Жtre tout nu devant vous sur cette table. Ce serait moins difficile si vous жtiez nu aussi. J'aurais l'impression de jouer au docteur avec vous.╗ Rudy commenуa par dire que la phrase жtait trop longue et trop difficile Я mжmoriser. Puis finalement, dans ses mots, il finit par tout dire en faisant des pauses pour respirer tellement il жtait excitж et pressж de voir Andrew tout nu.

Andrew dжtacha les bras de Rudy mais laissa les pieds engagжs dans les жtriers. Il se plaуa Я cЗtж de la table et enleva trУs lentement ses chaussures, son sarreau et sa chemise, dжcouvrant au regard concupiscent de l'adolescent, les quelques poils roux de sa poitrine. Puis, encore plus lentement_ il faisait vraiment un striptease_ il baissa la fermeture жclair de son pantalon qu'il laissa tomber sur le sol. Il montra au garуon qu'il жtait complУtement bandж dans son slip. Il lui fit voir sa queue, toute dure Я-travers de son slip, en moulant le contour de la main. Puis, aprУs lui avoir demandж s'il souhaitait toujours la voir, ce Я quoi le jeune rжpondit affirmativement, la figure жcarlate de honte, il baissa son slip avec une lenteur incroyable rжvжlant, centimУtre par centimУtre, le beau morceau pРle entourж de poils roux et raides qui embaumait la piУce de cette odeur fauve qui caractжrise les roux. La queue de Rudy donna quelques bons coups comme si elle allait jouir. Voyant cela, Andrew lui dit : ФAttends! Ne vient pas trop vite! Il faut que tu touches et puis il y a aussi mon cul Я voir!╗

Rudy avala mais il n'avait plus de salive. Sa bouche жtait toute sУche d'excitation. Andrew monta sur la table et prit une position 69. Rudy avait son cul dans la face et sa queue Я portжe de main et de bouche. Lentement aussi, par gЖne et par prudence aussi sans doute, le jeune toucha, caressa et masturba un peu la queue de son doc. Andrew l'entendait aussi respirer trУs fort comme s'il mettait en pratique les rжcents conseils qu'il lui avait donnжs. Il emplissait sa tЖte d'odeurs et de souvenirs de mЖme que d'une trУs prжcieuse expжrience.

Andrew le laissa prendre son plaisir Я son rythme. Lui prenait le sien au-dessus de cette belle queue d'ado et respirait les effluves qui remontaient de son cul, encore tout ouvert avec les jambes toujours relevжes dans les жtriers.

Finalement, Andrew prit la queue de Rudy dans sa bouche et entreprit de le sucer tandis qu'il ne se gЖnait plus pour mettre un doigt dans son cul. La rжponse fut immжdiate. Rudy avala ce qu'il pouvait prendre de la queue d'Andrew et tenta de le sucer en imitant ce que son partenaire lui faisait si bien. Il dжcouvrit aussi le cul d'Andrew; car il lРcha la queue quelques minutes pour aller sentir et comparer, suivant les conseils de son mжdecin et maЬtre. Il osa mЖme y passer le bout de sa langue, preuve que Ф уa ╗ ne le rebutait pas, bien au contraire. Quand il reprit la queue d'Andrew dans sa bouche, il prit conscience de l'ampleur des sensations globales qu'il жprouvait. Il engouffra tout ce qu'il put d'Andrew et ouvrit les жcluses de ses testicules. Des gorgжes de foutre d'ado s'enfoncУrent dans la gorge d'Andrew pendant que le doc se vidait aussi les rжservoirs dans celle de son jeune patient.

Ils restУrent quelques minutes l'un sur l'autre la tЖte aux pieds et reprirent leur respiration.

L'orgasme avait ramenж Andrew Я la rжalitж. Quand il se vit tout nu, la bouche encore tapissжe du sperme de Rudy, son patient, le cul bien жcrasж sur la face du jeune homme, il prit tout Я coup conscience de l'ampleur des dжgРts. Que venait-il de faire encore une fois? Comment avait-il pu se laisser aller Я une telle folie? Si Rudy racontait cela Я la maison ou mЖme s'il devenait accro de lui et cherchait Я le revoir pour renouveler cette expжrience de faуon pжriodique, il allait se retrouver dans de beaux draps et, qui sait, peut-Жtre des draps de prison pour de nombreuses annжes.

╔pouvantж par la situation, il se releva brusquement, se rhabilla en vitesse, ordonna Я Rudy de faire de mЖme et alla s'assoir derriУre son bureau. Il жcrivit un petit mot Я la mУre de Rudy pour qu'elle cesse de s'inquiжter des rougeurs dont lui avait parlж son fils. Il la prжviendrait si les tests de labo s'avжraient nжgatifs, mais il жtait convaincu que tout rentrerait bientЗt dans l'ordre. Elle devait seulement trouver un nouveau dжtergeant, moins irritant et acheter une pommade tout usage qui ferait bien l'affaire pour les rougeurs actuelles.

Il tendit le papier Я Rudy et le pria de l'excuser de ce qu'il s'жtait dжshabillж devant lui. Le garуon dжsormais sжduit et enchantж de ce qu'il venait de vivre lui demanda, comme il le craignait, pour le revoir. Andrew dжclina l'offre en spжcifiant qu'il serait toujours disponible s'il avait des problУmes de santж mais qu'il avait voulu simplement lui montrer certaines choses qui pourraient le rendre heureux dans l'avenir. Il trouverait sans doute auprУs des camarades de son Рge des plaisirs plus grands encore. Ce n'жtait pas l'avis du jeune homme, on s'en doute bien. En matiУre de sexe, le rжvжlateur a toujours une saveur жternelle et indжlжbile. Il lui fit jurer de ne parler de cela Я personne car il n'avait agi de la sorte que pour le rendre plus Я l'aise. Il жtait un cas unique et jamais il n'avait fait cela et ne le referait dans l'avenir.

Rudy жtait triste et dжуu. Il avait encore les yeux mouillжs quand il quitta enfin le cabinet. Andrew prit panique. Il annonуa Я ses collУgues qu'il se sentait au bout du rouleau et qu'il prenait deux semaines de vacances. Il partit Я Londres avec Francis un certain temps. Lorsqu'il revint Я New York, il s'arrangea pour y Жtre quelques jours avant son retour prжvu au travail, afin de pouvoir aller aux nouvelles et vжrifier comment les choses se prжsentaient.

Il tenta de rejoindre Rudy. Il demanda Я Francis de prendre le rЗle d'un infirmier, prжtextant que le docteur voulait savoir si tout allait bien et si les rougeurs avaient disparues. La voix du garуon semblait normale. Quand Francis lui demanda s'il avait apprжciж les services du docteur, il rжpondit trУs vitement et avec conviction : Oh oui! C'est un trУs bon docteur. Si j'ai un autre problУme, je vais aller le voir.╗ Francis fut plutЗt rassurж mais il avertit Andrew qu'il fallait vraiment qu'il fasse quelque chose avec ses pulsions qui жtaient devenues un vrai problУme voire un cauchemar. Il finit par le convaincre d'appeler l'agence pour laquelle je travaillais.

...

J'жtais bouleversж. Je ne savais plus quoi faire. Ce genre de problУme жtait bien au-delЯ de ma compжtence. Je lui conseillai un psy. Il se rebuta. Il n'avait pas confiance en leur discrжtion ni en leur secret professionnel dans ce genre d'affaires. Je lui donnais un peu raison. Il fallait Жtre sчr de son choix. Je lui offris alors la seule bouжe dont j'жtais capable. Je lui ai proposж de m'appeler dУs qu'il sentait qu'une situation жtait susceptible de l'entraЬner dans ses folies, un peu comme dans la formule жprouvжe des Alcooliques Anonymes.

Il devait alors quitter son bureau sur le champ et me laisser un message. MЖme si j'жtais de retour Я Montrжal, je sauterais dans un avion et je viendrais le revoir. Il parut apprжcier grandement.

Francis vint se joindre Я nous pour un dernier thж. Il me remercia aussi chaleureusement. En quittant, je me suis permis une petite blague : Ф Si jamais j'ai un problУme de santж, puis-je aller vous voir? Je suis, voyez-vous trУs timide et je crains de me dжvЖtir devant un mжdecin.╗ Ils rirent tous les deux de bon cюur...et moi aussi. Jusqu'Я prжsent, il ne m'a jamais rappelж. Mais j'y pense souvent. Comment s'en est-il sorti? Dans l'annuaire de Manhattan, son nom est toujours lЯ et la clinique y figure toujours. C'est bon signe.

└ suivre...Big Apple 14; Nouvelle histoire : Premier жpisode : Puerto Rico, My Heart Devotion

ALEXANDRE

Next: Chapter 14


Rate this story

Liked this story?

Nifty is entirely volunteer-run and relies on people like you to keep the site running. Please support the Nifty Archive and keep this content available to all!

Donate to The Nifty Archive
Nifty

© 1992, 2024 Nifty Archive. All rights reserved

The Archive

About NiftyLinks❤️Donate